LSM Newswire

Wednesday, June 17, 2009

16e édition du Marché public de Pointe-à-Callière

L'Union des producteurs agricoles présente

Le Marché public de Pointe-à-Callière,
dans l’ambiance du 18e siècle
16e édition

Samedi 29 août, de 10 h à 20 h
Dimanche 30 août, de 10 h à 18 h
Sur la place Royale et aux abords du Musée
ÉVÉNEMENT GRATUIT

Montréal, le 17 juin 2009 Le Marché public de Pointe-à-Callière dans l'ambiance du 18e siècle vous propose, pour sa seizième édition, une incursion authentique au cœur du premier marché public de Montréal, vers 1750. L’événement se déroule beau temps mauvais temps, sur la place Royale et aux abords du Musée, les samedi 29 et dimanche 30 août prochain.

Événement incontournable du Vieux-Montréal,
Le Marché public de Pointe-à-Callière offre une expérience unique à qui souhaite se divertir en fréquentant, l’espace d’un week-end, un marché aux airs festifs qui, par le biais d’aliments, de produits et d’animations, revisite la réalité quotidienne sous le Régime français.

L’événement se déroule sur la Place Royale, soit à l’emplacement même du premier marché à Montréal. À cette époque, on trouvait de tout au marché et dans les boutiques avoisinantes. Le marché avait lieu deux fois par semaine et les gens étaient tenus de se rendre au marché pour faire la vente de leurs produits. Aussi, comme la place du marché constituait, suivant la tradition européenne, la principale place publique de la ville, c'est là que l'huissier faisait lecture des ordonnances, et que paysans, commerçants, cabaretiers, ouvriers, voyageurs, soldats, matelots, nobles, bourgeois et fonctionnaires se côtoyaient pour vendre et acheter, tout en échangeant nouvelles et potins... C'est là encore que musiciens ambulants, amuseurs publics et artisans faisaient d'une journée au marché un vrai plaisir!

Et c’est ce voyage au cœur de l’histoire que propose Pointe-à-Callière, plus de 250 ans plus tard.

Produits et denrées de l’époque

En flânant parmi les nombreux étals du Marché public de Pointe-à-Callière, les visiteurs peuvent déguster produits et denrées caractéristiques du 18e siècle, et s’approvisionner en produits divers : gelée de fruits sauvages et confitures, truffes au chocolat, produits de l’érable, fromages, fines herbes, galettes de sarrasin, marinades de têtes de violon, hydromel, alcool de fruits, cidre, savons artisanaux, sans oublier la fameuse bière d’épinette de Pointe-à-Callière.

Le Marché propose aussi des alcools, du miel, de la moutarde, des fines herbes, de la gomme de sapin, de l’huile d’olive (à cette époque, importée de France), des canneberges et des bleuets, des cerises de terre, des plantes médicinales, des produits de chanvre et des vinaigres aromatisés.

Les produits vendus aux étals du marché ont fait l’objet de recherches rigoureuses, afin de s’assurer qu’ils étaient bel et bien communs à la Nouvelle-France de l’époque; ces produits sont vendus selon les normes sanitaires actuelles. Dans un souci de respect des faits historiques, les producteurs agricoles tout comme les artisans, musiciens et animateurs revêtent des costumes et présentent des animations qui rappellent l’ambiance du 18e siècle.

Une fin de semaine riche en animation

Des personnages d’époque, des Amérindiens et les soldats d’un régiment militaire établissent leurs quartiers à Pointe-à-Callière et animent avec verve la place publique durant tout le week-end. Partout sur le site, des conteurs, musiciens et artisans vous éblouiront de leur savoir-faire. Pour rappeler la nouvelle exposition du Musée, Pirates, corsaires et flibustiers, et le fait que Montréal est une ville portuaire vous serez invité à participer à une chasse au trésor, à aider le maître-coq à faire le samilgondis des grands jour ou écouter les projets du marin Pierre qui rêve de faire le corsaire sur les mers des Antilles et de l’Atlantique.

Aussi, à ne pas manquer, le nouveau conte
Le Diable aux vaches – Un conte de l’UPA créé spécialement par Eric Michaud pour le Marché public. Ce conte du terroir, pour petits et grands, sera présenté sur la scène de l’auberge le samedi et le dimanche. Ubert Sanspré raconte comment le diable a laissé des traces de son passage dans nos campagnes....

Plusieurs activités du
Marché public sont destinées aux tout-petits qui auront la chance de se costumer à la mode de la Nouvelle-France, faire la parade des petits soldats et jouer à des jeux d’époque comme les pinnes et les dames.

Zone contemporaine

Le Marché public propose aussi une zone contemporaine appelée Mémoires de Nouvelle-France, où les curieux peuvent essayer de retracer leurs origines et reprendre contact avec des traditions françaises gardées vivantes depuis plus de deux siècles. Plusieurs partenaires du Musée sont invités à partager avec les visiteurs leur savoir historique, archéologique et généalogique. La Société généalogique canadienne-française et la Société historique de Montréal sont présentes dans cette section.

D’autres parts, en marge du Mois de l’archéologie, deux activités spéciales sont présentées lors du
Marché public. Avec La ville sous la ville - sur les traces du Fort de Ville-Marie, rencontrez et discutez avec les archéologues qui collaborent à l’École de fouilles archéologiques de Pointe-à-Callière. Ils vous expliquent l’historique du site de la fondation de Montréal ainsi que leurs plus récentes découvertes.

Pour les plus jeunes, l’animation
Archéologues en herbe deviens une occasion idéale pour en apprendre un peu plus sur le métier d’archéologue. Dans un espace de découvertes, les jeunes vont participer à une simulation de fouilles en compagnie d’un guide-animateur archéologue. Leur mission : mettre au jour les traces liées à différentes périodes de l’histoire de Montréal.

L’activité culturelle Le Marché public de Pointe-à-Callière dans l’ambiance du 18e siècle est présentée par l’Union des producteurs agricoles (UPA). Ce projet est réalisé dans le cadre de l’Entente sur le développement culturel de Montréal et bénéficie du soutien du Secrétariat aux affaires autochtones. Le Musée remercie également ses autres partenaires : Unibroue ainsi que les quotidiens La Presse et The Gazette.

Le Musée est subventionné par la Ville de Montréal.

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Tuesday, June 16, 2009

Les Impatients au Musée des religions du monde


Le Musée des religions du monde présente son exposition vedette pour l'été 2009 : Une certaine idée de Dieu.

Depuis le 9 juin, et ce, jusqu'au 15 novembre 2009, les visiteurs pourront admirer les gigantesques toiles créées par quelques membres de l'organisme montréalais Les Impatients, un lieu d'expression et d'interprétation de l'art thérapeutique et de l'art brut. L'organisme a comme double mission d'offrir un lieu d'expression artistique aux personnes atteintes de problèmes de santé mentale et de favoriser les échanges avec la communauté par la diffusion de leurs réalisations.

Les 21 toiles mesurant chacune 9 pieds par 12 pieds expriment une réflexion individuelle ou collective sur la représentation d'un Dieu. De la tortue aux poissons, d'Adam et Ève aux dieux égyptiens, chacune des œuvres est différente et fascine par ses couleurs flamboyantes tout en nous proposant une vision du Créateur qui est parfois bien loin de l'imagerie traditionnelle.

Afin de rendre l'exposition encore plus intéressante et interactive, le Musée des religions du monde propose aux visiteurs d'exprimer à leur tour leur propre vision de Dieu en peignant sur un mur de la salle leur perception de l'être suprême.

Une certaine idée de Dieu, à voir sans hésiter!

Le Musée des religions du monde se situe au 900, boul. Louis-Fréchette à Nicolet.

Pour plus d'informations : 819-293-6148 ou www.museedesreligions.qc.ca

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Monday, April 27, 2009

Le Mois de la Photo à Montréal 2009




Jeff Guess, From Hand to Mouth, 1993. Vue de l'installation / Installation view, The American Center, Paris, 1995. Détail / Detail. Avec l'aimable autorisation de l'artiste / Courtesy of the artist


LE MOIS DE LA PHOTO À MONTRÉAL DÉVOILE UN APERÇU DE SA 11e ÉDITION

Le Mois de la Photo à Montréal est heureux de dévoiler un aperçu de la programmation de sa 11e édition, qui se déroulera du 10 septembre au 11 octobre prochain. L'événement automnal transformera la ville en une vaste exposition de photographie contemporaine.

Sous le thème Les Espaces de l'image, développé par la commissaire invitée Gaëlle Morel, la 11e édition du Mois de la Photo à Montréal propose d'explorer la question des dispositifs et de la mise en espace, perçue comme une des clés de lecture essentielles des différents projets photographiques présentés au cours de ces dernières années.

Sorties de leur cadre traditionnel, les images se déploieront dans l'espace d'exposition sous la forme d'installations photographiques et vidéo. Le spectateur sera invité à faire l'expérience d'une variété de procédés visuels et sonores : agrandissement et monumentalité des tirages, projections multiples, conception in situ, fabrication et utilisation d'objets et de machines, etc.

EXPOSITIONS
Au programme : 24 expositions individuelles d'artistes en provenance de 13 pays et de 4 continents, qui associent leurs images à de véritables expériences scénographiques. Parmi ceux-ci, mentionnons : Luc Courchesne (Canada), Jeff Guess (É.-U./France), Alfredo Jaar (Chili/É.-U.), Emmanuelle Léonard (Canada), Oscar Muñoz (Colombie) et Beat Streuli (Suisse). Plusieurs oeuvres seront présentées en première nord-américaine et mondiale.

Les expositions et interventions extérieures seront réparties dans une variété de lieux de diffusion montréalais en partenariat avec des musées, galeries, centres d'artistes et maisons de la culture. La soirée d'ouverture et plusieurs expositions se dérouleront dans un édifice du quartier historique de Saint-Henri. Grâce à la générosité de nos partenaires, toutes les expositions et les activités ouvertes au grand public seront gratuites.


À PROPOS DE L' ÉVÉNEMENT

Le Mois de la Photo à Montréal est une biennale internationale de photographie contemporaine dont la première édition s'est tenue en 1989, afin de célébrer le 150e anniversaire de l'invention de la photographie. En 2007, le directeur du British Journal of Photography, Simon Bainbridge, situait Le Mois de la Photo à Montréal parmi les 10 meilleurs festivals de photographie dans le monde et le considérait comme la plus importante biennale de photographie en Amérique du Nord.


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LE MOIS DE LA PHOTO À MONTRÉAL PRESENTS ITS PROGRAM PREVIEW
Le Mois de la Photo à Montréal is delighted to present the preview of the program for its 11th presentation, to be held from
September 10 to October 11, 2009. This fall, the event will transform the city into a vast exhibition of contemporary photography.

Organized around the theme The Spaces of the Image, developed by guest curator Gaëlle Morel, the 11th presentation of Le Mois de la Photo à Montréal will explore the questions of mechanisms and staging, perceived as essential keys to reading the different photographic projects presented in recent years.


Taken out of their traditional framework, images will be deployed in the exhibition spaces in the form of in situ photographic and video installations. Visitors will be invited to immerse themselves in a variety of visual and sound experiences: enlargement and monumentalization of prints, projections, the use of objects and devices, staging strategies, etc.

EXHIBITIONS
The event will feature 24 solo exhibitions by artists from 13 countries and 4 continents, whose practices combine images with scenographic experiences. Among them are Luc Courchesne (Canada), Jeff Guess (USA/France), Alfredo Jaar (Chile/USA), Emmanuelle Léonard (Canada), Oscar Muñoz (Colombia), and Beat Streuli (Switzerland). A number of the works are being presented for the first time in North America or as world premières.

The exhibitions and public space interventions will be presented in a variety of different sites across the city in partnership with museums, galleries, artist-run centres, and maisons de la culture. The public event launch and several exhibitions will be held in the historic Saint-Henri district. Thanks to the generosity of our partners, all of our exhibitions and activities open to the general public will be presented free of charge.

ABOUT THE EVENT
Le Mois de la Photo à Montréal is an international biennale of contemporary photography first presented in 1989, to celebrate the 150th anniversary of the invention of photography. In 2007, the editor of the British Journal of Photography, Simon Bainbridge, listed Le Mois de la Photo à Montréal among the 10 best photographic events in the world, and named it North America's premier biannual photo festival.

PARTENAIRES D'EXPOSITIONS / EXHIBITIONS PARTNERS
Centre Canadien d'Architecture | Fonderie Darling |Galerie B-312 | Galerie Leonard & Bina Ellen
Galerie de l'UQAM | Les Ateliers Jean Brillant | MAI (Montréal, arts interculturels)
Maison de la culture Frontenac | Maison de la culture Plateau-Mont-Royal
SBC, galerie d'art contemporain | VOX, image contemporaine


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Wednesday, April 1, 2009

École de fouilles archéologiques de Pointe-à-Callière

L’École de fouilles archéologiques de Pointe-à-Callière
fait la découverte majeure d’un cadran solaire du 17e siècle

Montréal, le 1er avril 2009 – Pointe-à-Callière, musée d’archéologie et d’histoire de Montréal est fière d’annoncer la découverte majeure d’un cadran solaire datant du 17e siècle par son École de fouilles archéologique.

Un fascinant casse-tête archéologique
À quelques pas de Pointe-à-Callière, sous le 214, place D’Youville, dorment les vestiges du fort de Ville-Marie (1642-1688) édifié par Paul de Chomedey de Maisonneuve et ceux du « château » (1688-1765) construit ensuite par le gouverneur de Callière.

Entre 1999 et 2007, lors de fouilles menées sur ce site fondateur de Montréal dans le cadre de l’École de fouilles archéologiques de Pointe-à-Callière, des archéologues ont recueilli des fragments d’ardoise pour la plupart incisés de lignes. Ils associent tout d’abord les premiers fragments découverts à la toiture du château de Callière. Mais au fur et à mesure qu’ils trouvent de nouveaux fragments, permettant à un objet de prendre forme, les archéologues décèlent un motif d’angles rayonnant à partir d’un point central. L’objet est-il un rapporteur d’angles...? L’hypothèse restait à valider!

Ce sont les restaurateurs du Centre de conservation du Québec, à qui les fragments ont été confiés pour restauration, qui infirment cette deuxième hypothèse et en proposent une nouvelle, grâce au concours de spécialistes en astronomie et en mathématiques : il s’agit d’un cadran solaire. Le tracé des angles correspond à celui d’un cadran solaire vertical, utilisable à la latitude de Montréal (45š31’ Nord) et qui aurait pu être fixé au mur sud d'un édifice du domaine de Callière (fin du 17e siècle), voire du fort de Ville-Marie (milieu du 17e siècle).

D’autres pistes à explorer
Selon des experts, il pourrait s’agir du premier cadran solaire à avoir été fabriqué à Montréal. Des recherches sont présentement en cours afin de déterminer la provenance de l’ardoise (locale ou française) et sa datation. D’autres questions se posent aux chercheurs. Pourquoi les lignes horaires ne sont pas identifiées et qu’aucun trou ne semble destiné à accueillir le gnomon ou style (qui, par son ombrage, indique l’heure tout au long du jour)? Le cadran date-t-il de l’époque du fort ou de celle du château?

Il est toutefois indéniable qu’il s’agit d’une découverte majeure permettant une avancée importante dans la recherche entourant le lieu de fondation de Montréal.

Le Musée est subventionné par la Ville de Montréal.

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Thursday, March 19, 2009

Les Cultures gourmandes de Pointe-à-Callière

LES CULTURES GOURMANDES DE POINTE-À-CALLIÈRE

Sur la place Royale et aux abords du Musée
Le samedi 30 mai de 11 h à 19 h
Le dimanche 31 mai de 11 h à 18 h
Événement extérieur gratuit

Pointe-à-Callière, musée d’archéologie et d’histoire de Montréal présente le samedi 30 et le dimanche 31 mai prochain sur la place Royale et aux abords du Musée, Les cultures gourmandes de Pointe-à-Callière. Événement extérieur gratuit, Les cultures gourmandes de Pointe-à-Callière propose une vitrine de choix sur la réalité et la pluralité des nombreuses communautés culturelles montréalaises en proposant aux visiteurs des spectacles, de l’animation, des activités pour les enfants, des kiosques de restauration, des présentations de chefs culinaires reconnus, des produits typiques, des jeux, et plus encore.

« J’invite tous les citoyens et les touristes de passage à venir célébrer avec nous la richesse de Montréal et de ses communautés culturelles.
Les cultures gourmandes de Pointe-à-Callière est un lieu de rencontre et de partage extraordinaire, une merveilleuse façon de célébrer l’été qui est à nos portes! », souligne Francine Lelièvre, directrice de Pointe-à-Callière.

En avant la musique!
Des artistes de divers pays se produiront sur la scène principale de la place Royale. Ces prestations animeront joyeusement les lieux laissant planer des rythmes envoûtants et une ambiance festive. Une deuxième scène animera la rue Saint-Paul, sous la forme d’un café bistro.

Des chefs vous livrent leurs recettes
La diversité culinaire des communautés culturelles de Montréal sera bien représentée sous le chapiteau des chefs. Des chefs montréalais réputés proposeront des démonstrations et des ateliers tout en partageant quelques-uns des secrets de leur cuisine respective.

Des spécialités à déguster
Plusieurs restaurateurs montréalais auront pignon sur rue près du chapiteau des chefs pour vendre leurs spécialités. Cuisine du Mexique, de l’Afrique et d’Haïti, desserts, sucreries et autres délices, les participants auront la possibilité de stimuler toutes leurs papilles gustatives.

Des activités pour les enfants
Les enfants auront une place de choix dans Les cultures gourmandes de Pointe-à-Callière. Contes, maquillage, jeux et ateliers de bricolage sauront les faire rire et sourire. Du temps précieux passé en famille à faire le plein de découvertes.

La cuisine du voyage en mer
Cette année, un accent particulier sera mis sur la cuisine du voyage en mer, celle des pirates, corsaires et flibustiers. La toute nouvelle exposition Pirates, corsaires et flibustiers qui commence le 20 mai inspirera diverses démonstrations et activités qui se tiendront durant toute la fin de semaine.

Un quartier animé hautement coloré
Des kiosques de jeux seront aménagés et proposeront aux visiteurs de tester leurs habiletés et leurs connaissances des passe-temps de diverses cultures. La pétanque, l’Awalé et le Yoté sont parmi les jeux à découvrir. De plus, l’art de la table, les origines et les traditions de diverses fêtes culturelles seront soulignés par des présentations originales et fascinantes.

Cette activité bénéficie du soutien financier du ministère du Patrimoine canadien et de la Société de développement commercial Vieux-Montréal. Les cultures gourmandes de Pointe-à-Callière remercie Loto-Québec à titre de commanditaire majeur ainsi que la Vinerie du Kildare et le Domaine Pinnacle. Le Musée tient également à remercier La Presse, The Gazette, les hebdos Transcontinental et Radio Centre-Ville pour leur appui à la promotion de l’événement.

Le Musée est subventionné par la Ville de Montréal.

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Monday, November 3, 2008

Costa Rica, terre de merveilles

Pointe-à-Callière présente
COSTA RICA, TERRE DE MERVEILLES

Quand la pierre, la céramique, le jade et l’or racontent deux mille ans de culture
Du 4 novembre 2008 au 19 avril 2009

Montréal, le 3 novembre 2008 – Pointe-à-Callière, musée d’archéologie et d’histoire de Montréal, présente du 4 novembre 2008 au 19 avril 2009 Costa Rica, terre de merveilles. Réalisée par Pointe-à-Callière en partenariat avec le Museo Nacional de Costa Rica à San José, l’exposition présente pour la première fois en terre canadienne près de 230 objets précieux en or, jade, céramique fine et pierre ciselée d’une rare beauté et d’une grande finesse. Pour le musée, il s’agit de la plus importante exposition sur le sujet jamais réalisée à l’extérieur du Costa Rica. Bienvenue sur la « côte riche »…

Costa Rica, terre de merveilles s’intéresse à l’histoire de ce pays, sur une période d’environ 2000 ans, du 5e siècle avant notre ère jusqu’à l’arrivée de Christophe Colomb en 1502. Les visiteurs découvriront la diversité des grandes régions du pays grâce aux objets qui en proviennent : des vases à formes humaines et animales admirablement exécutés, des pendentifs en jade délicatement taillés, des parures en or d’une grande finesse et des objets en pierre symbolisant les traditions des populations. À tous points de vue, les découvertes sont saisissantes. Ce territoire longtemps considéré comme une simple extension des brillantes civilisations du nord et du sud – Olmèques, Mayas, Incas… – a su développer un syle propre, d’une qualité remarquable. Ce voyage dans le temps témoigne aussi de l’apparition et de l’évolution de chefferies de plus en plus puissantes dans les sociétés agricoles du Costa Rica. Plusieurs objets témoignent de l’influence de la nature sur la vie culturelle et sociale des populations.

L’exotisme au rendez-vous
Le visiteur sera fasciné par la beauté de ce pays dont la faune est fortement représentée dans les nombreux objets de l’exposition. Dans une muséographie rappelant l’ambiance de la forêt tropicale et les mystères d’une civilisation méconnue, l’exposition démontre que le Costa Rica précolombien (qui précède l’arrivée de Christophe Colomb en Amérique) mérite pleinement, par son archéologie, son appellation de « côte riche ».

Des trésors archéologiques présentés pour une première fois au Canada
Les artefacts provenant du Museo Nacional de Costa Rica sont pour la plupart des objets qui ont peu ou jamais été exposés à l’extérieur du Costa Rica. D’une fabuleuse richesse, les objets sont marqués par un grand esthétisme et un savoir-faire artisanal qui font de ces pièces de véritables chefs-d'œuvre.

Certains objets présentés dans l’exposition sont propres à la culture costaricaine et n’ont pas d’équivalent dans les autres sociétés de l’Amérique précolombienne. Par exemple, ces magnifiques tables en pierre –
metates — finement sculptées, et des sphères en pierre, souvent de taille imposante, dont la fonction reste pour nous mystérieuse…

L’archéologie au Costa Rica
Le développement économique du Costa Rica vers la fin du 19e siècle a donné lieu à des découvertes fortuites de nombreuses tombes. Plusieurs objets archéologiques ont quitté le pays pour entrer dans des collections privées et certains facteurs environnementaux ont effacé des traces du passé : les sols acides, les pluies diluviennes, l’exploitation des terres. C’est ce qui explique que même si les artefacts découverts par les archéologues du Costa Rica sont assez nombreux pour permettre de contextualiser les différents types d’objets, désormais beaucoup reste à faire pour comprendre le quotidien des populations anciennes.

Le gouvernement costaricain veille sur le patrimoine archéologique : tous les objets trouvés lors de fouilles archéologiques doivent être versés à la collection du
Museo Nacional de Costa Rica. Les fouilles préventives sont obligatoires avant toute construction, et les sites archéologiques sont protégés par la loi – avec le concours d’une population plus consciente de leur importance.

Une collaboration fructueuse
La présence exceptionnelle de ces objets à Montréal n’aurait pu se faire sans la grande collaboration du Museo Nacional de Costa Rica. Le Musée de San José rend ainsi accessible au public nord-américain l’histoire peu connue, mais combien fascinante, d’un pays dont les artefacts communiquent l’importance de la relation entre l’homme et la nature. Un heureux partenariat pour Pointe-à-Callière qui désire ainsi faire connaître au public d’ici les grandes civilisations du monde. Ce projet a aussi bénéficié de la collaboration de l’archéologue Claude Chapdelaine, professeur à l’Université de Montréal et qui mène depuis plusieurs années des recherches archéologiques en Amérique latine.

Une publication inédite
Réalisé par Pointe-à-Callière en partenariat avec le Museo Nacional de Costa Rica, le catalogue constitue un des rares ouvrages écrits en français et en espagnol sur l’archéologie costaricaine. En 80 pages illustrées, l’ouvrage présente tous les objets de l’exposition et traite de l’archéologie précolombienne. Ce document est disponible à la boutique du Musée.

L’automne et l’hiver seront ensoleillés à Pointe-à-Callière du 4 novembre 2008 au 19 avril 2009.

Pointe-à-Callière remercie le Museo Nacional de Costa Rica, le Ministère de la culture et de la communication du Costa Rica ainsi que ses partenaires : Air Canada, Guides de voyage Ulysse, Marriott SpringHill Suites, La Presse et The Gazette.

Le Musée est subventionné par la Ville de Montréal.

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Monday, September 8, 2008

Tourisme culturel : tendances et stratégies

Tourisme culturel : tendances et stratégies
Du lundi 29 septembre au vendredi 3 octobre 2008

Organisé par Pointe-à-Callière, musée d’archéologie et d’histoire de Montréal et le Centre des sciences de Montréal, cette conférence internationale présente les tendances et les grands enjeux du tourisme culturel.

À l'ordre du jour : une quarantaine de conférences en plus d'une vingtaine de présentations de travaux de recherche et d’idées novatrices.

Des invités prestigieux : André Vallerand, Président du
Conseil des destinations de l’Organisation mondiale du tourisme et président du Centre Mondial d’Excellence des Destinations, Glenn D. Lowry, directeur du Museum of Modern Art (MOMA) à New York, Felipe Solis, directeur du Musée national d’anthropologie du Mexique, Jan Dolak, titulaire de la Chaire UNESCO en Muséologie et patrimoine mondial et Catherine Guillou, directrice des Publics, Musée du Louvre, et plusieurs autres invités.

Les pays participants : l’Allemagne, l’Angleterre, l’Argentine, l’Australie, la Belgique, le Brésil, le Canada, le Chili, l’Espagne, les États-Unis, la Finlande, la France, l’Islande, l’Italie, le Mexique, le Nigéria, la Norvège, la Pologne, Taiwan et plusieurs autres.

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Tuesday, September 2, 2008

Galerie Wilder & Davis: Exposition Dessins de Donald Andrus

Galerie Wilder & Davis

Dessiner dans une langue étrangère

Dessins

de

Donald Andrus

Vernissage: vendredi 12 septembre 2008 dès 18 h

Du 12 septembre au 30 novembre 2008


La galerie Wilder & Davis a l'honneur de présenter une sélection de récents dessins de Donald Andrus, du 12 septembre au 30 novembre 2008. Après une interruption de quarante ans, l'artiste est retourné à sa table à dessin le 25 décembre 2006, et a depuis produit une série de travaux surprenants de cohérence.

Les œuvres exposées révèlent un processus évolutif qui commence à un moment où le dessin a quelque chose d'une « langue étrangère » pour l'artiste ; puis l'évolution du travail continue à servir de journal visuel de la redécouverte son médium. On retrouve dans les premiers travaux des éléments calligraphiques forts, mis en valeur à travers la série par des changements constants de médiums et d'échelles. L'œuvre produite depuis les deux dernières années semble avoir été accomplie dans un effort conscient de dessiner « à propos » du dessin.

Le dessin a toujours été une pratique fondamentale dans de nombreux processus artistiques. Donald Andrus semble ici vouloir nous montrer que même si le dessin reste aujourd'hui souvent dans l'ombre de l'œuvre, il reste une forme d'art à part entière qui n'a pas encore disparu.

Le grand public et les médias sont cordialement invités à rencontrer l'artiste à l'occasion du vernissage le vendredi 12 septembre 2008 à partir de 18 h.


Né en Écosse, à Dingwall, Donald Andrus a étudié l'histoire de l'art et les arts visuels à l'Université de Toronto où il obtient une maîtrise en histoire de l'art. Il devient professeur en histoire de l'art à l'Université Concordia où il enseigne jusqu'en 1996. Il prend ensuite prématurément sa retraite pour travailler à plein temps dans son atelier. Donald Andrus expose régulièrement depuis 1988 et a récemment eu une exposition rétrospective de son travail des quinze dernières années au Confederation Centre Art Gallery de Charlottetown, sur l'Île-du-Prince-Édouard. On retrouve son travail dans les collections du Confederation Centre Art Gallery de Charlottetown, de la Beaverbrook Art Gallery, de la PEI Art Bank et dans les collections d'entreprises tels que la firme d'avocats MacIness, Stewart à Halifax en Nouvelle-Écosse.


Pour plus d'informations , veuillez contacter Elizabeth Barbosa , responsable de la galerie (514) 289-0849

Heures d'ouverture: du lundi au samedi de 9 h 30 à 18 h 00.

Lieu :

Wilder & Davis , 257 rue Rachel Est (entre Henri-Julien et Laval , metro Mont-Royal)

wilder_davis@yahoo.com


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Tuesday, August 26, 2008

Costa Rica, terre de merveilles - Cet automne à Pointe-à-Callière

Pointe-à-Callière présente
COSTA RICA, TERRE DE MERVEILLES

Quand la pierre, la céramique, le jade et l’or racontent deux mille ans de culture
Du 4 novembre 2008 au 19 avril 2009

Montréal, le 26 août 2008 – Pointe-à-Callière, musée d’archéologie et d’histoire de Montréal, présente du 4 novembre 2008 au 19 avril 2009 Costa Rica, terre de merveilles. Réalisée par Pointe-à-Callière en partenariat avec le Museo Nacional de Costa Rica à San José, l’exposition présente pour la première fois en terre canadienne quelque 230 objets précieux en or, jade, céramique fine et pierre ciselée d’une rare beauté et d’une grande finesse. Il s’agit de la plus importante exposition sur le sujet jamais réalisée à l’extérieur du Costa Rica. Bienvenue sur la « côte riche »…

Costa Rica, terre de merveilles s’intéresse à l’histoire de ce pays, sur une période d’environ 2000 ans, du 5e siècle avant notre ère jusqu’à l’arrivée de Christophe Colomb en 1502. Les visiteurs découvriront la diversité des grandes régions du pays grâce aux objets qui en proviennent : des vases à formes humaines et animales admirablement exécutés, des pendentifs en jade délicatement taillés, des parures en or d’une grande finesse et des objets en pierre symbolisant les traditions des populations. À tous points de vue, les découvertes sont saisissantes. Ce territoire longtemps considéré comme une simple extension des brillantes civilisations du nord et du sud – Olmèques, Mayas, Incas… – a su développer une esthétique propre, d’une qualité remarquable. Ce voyage dans le temps témoigne aussi de l’apparition et de l’évolution de chefferies de plus en plus puissantes dans les sociétés agricoles du Costa Rica.

L’exotisme au rendez-vous
Le visiteur sera fasciné par la beauté de ce pays dont la faune est fortement représentée dans les nombreux objets de l’exposition. Dans une muséographie rappelant l’ambiance de la forêt tropicale et les mystères d’une civilisation méconnue, l’exposition démontre que le Costa Rica précolombien (qui précède l’arrivée de Christophe Colomb en Amérique) mérite pleinement, par son archéologie, son appellation de « côte riche ».

Des trésors archéologiques présentés pour une première fois au Canada
Les artefacts provenant du Museo Nacional de Costa Rica sont pour la plupart des objets qui ont peu ou jamais été exposés à l’extérieur du Costa Rica. D’une fabuleuse richesse, les objets sont marqués par un grand esthétisme et un savoir-faire artisanal qui font de ces pièces de véritables chefs-d'œuvre.

Certains objets présentés dans l’exposition sont propres à la culture costaricaine et n’ont pas d’équivalent dans les autres sociétés de l’Amérique précolombienne. Par exemple, ces magnifiques tables en pierre –
metates — finement sculptées, et des sphères en pierre, souvent de taille imposante, dont la fonction reste pour nous mystérieuse…

L’archéologie au Costa Rica
Le développement économique du Costa Rica vers la fin du 19e siècle a donné lieu à des découvertes fortuites de nombreuses tombes. Plusieurs objets archéologiques ont quitté le pays pour entrer dans des collections privées et certains facteurs environnementaux ont effacé des traces du passé : les sols acides, les pluies diluviennes, l’exploitation des terres. C’est ce qui explique que même si les artefacts découverts par les archéologues du Costa Rica sont assez nombreux pour permettre de contextualiser les différents types d’objets, désormais beaucoup reste à faire pour comprendre le quotidien des populations anciennes.

Le gouvernement costaricain veille sur le patrimoine archéologique : tous les objets trouvés lors de fouilles archéologiques doivent être versés à la collection du
Museo Nacional de Costa Rica. Les fouilles préventives sont obligatoires avant toute construction, et les sites archéologiques sont protégés par la loi – avec le concours d’une population plus consciente de leur importance.

Une collaboration fructueuse
La sélection exceptionnelle d’objets, la plus importante jamais exposée en sol canadien, n’aurait pu se faire sans la grande collaboration du Museo Nacional de Costa Rica. Le Musée de San José rend ainsi accessible au public nord-américain l’histoire peu connue, mais combien fascinante, d’un pays dont les artefacts communiquent l’importance de la relation entre l’homme et la nature. Un heureux partenariat pour Pointe-à-Callière qui désire ainsi faire connaître au public d’ici les grandes civilisations du monde. Ce projet a aussi bénéficié de la collaboration de l’archéologue Claude Chapdelaine, professeur à l’Université de Montréal et qui mène depuis plusieurs années des recherches archéologiques en Amérique latine.

Une publication inédite
Réalisé par Pointe-à-Callière en partenariat avec le Museo Nacional de Costa Rica, le catalogue constitue un des rares ouvrages écrits en français sur l’archéologie costaricaine. En 80 pages illustrées, l’ouvrage présente tous les objets de l’exposition et traite de l’archéologie précolombienne. Ce document édité en français et en espagnol sera disponible à la boutique du Musée dès l’ouverture de l’exposition.

L’automne et l’hiver seront ensoleillés à Pointe-à-Callière du 4 novembre 2008 au 19 avril 2009.

Pointe-à-Callière remercie le Museo Nacional de Costa Rica et Patrimoine canadien, ainsi que ses partenaires : Air Canada, Guides de voyage Ulysse, Marriott SpringHill Suites, La Presse et The Gazette.

Le Musée est subventionné par la Ville de Montréal.

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Thursday, August 21, 2008

Violons de maîtres luthiers de Florence


De remarquables violons contemporains construits par des maîtres luthiers de Florence seront exposés du 27 août au 31 octobre à l'ÉCONOMUSÉE de la lutherie, au 57, rue Ontario Ouest.
L'exposition Violons de maîtres luthiers de Florence démontrera que les luthiers italiens « ont un panache que d'autres n'ont pas, dit Jules Saint-Michel, directeur de ce musée qui fait partie d'un réseau d'artisans parrainé par le gouvernement. Leurs instruments suivent la lignée traditionnelle mais on les reconnaît facilement en raison d'un individualisme fortement accentué et ils sont, de ce fait, convoités par beaucoup de violonistes. »
Présentée en collaboration avec l'Associazione Liuteria Toscana, l'exposition sera officiellement ouverte en présence du directeur de l'Institut culturel italien, M. Angelo Mazzone, qui souligne ainsi le savoir-faire et l'excellence de ses compatriotes dans un métier d'art aussi légendaire que la lutherie.
Au cours du vernissage, deux violonistes de réputation internationale interpréteront des œuvres italiennes. Alexandre Da Costa joue sur un Stradivarius de 1667 tandis que Martine Cardinal joue sur un violon fait par Jules Saint-Michel.
Huit maîtres luthiers de Florence et de la région de Toscane exposeront leurs œuvres. Ce sont : Marco Anedda, Claudio Arezio, Fabrizio Di Pietrantonio, Michele Mecatti, Gianluca Montenegro, Paolo Sorgentone, Paolo Vettori et Luigi Ercoli.
M. Saint-Michel, qui est le doyen des luthiers québécois, rappelle que le violon italien est fabriqué avec la même précision et la même qualité de son et de forme que celui des plus grands anciens maîtres. Il sera admiré et joué comme certains violons le sont depuis 350 ans.

« Dans les ventes aux enchères, les violons italiens sont recherchés et leur valeur augmente sans cesse. »
C'est la troisième présentation de violons italiens à l'ÉCONOMUSÉE de la lutherie. Les précédentes ont eu lieu en 2005 et en 2006.
Depuis l'illustre famille des Médicis jusqu'à l'apogée de la Renaissance, Florence a vu la naissance de métiers qui se sont développés en corporations. La lutherie, comme d'autres arts, a bénéficié de l'appui de grands mécènes amoureux de la musique.
En témoignent également la peinture et la sculpture de cette époque. Elles montrent en effet d'innombrables instruments de musique qui confirment la présence de facteurs d'instruments à la cour et dans les palais. Artisans de père en fils souvent, leurs descendants suivent la tradition et franchissent l'épreuve du temps, ajoute M. Saint-Michel.
L'apport des luthiers toscans n'est pas limité à un style spécifique, ni à l'influence marquée d'un fondateur, à une certaine méthode de construction ou à l'utilisation de certains matériaux. Elle émerge plutôt d'une réflexion personnelle ancrée dans une tradition héritée depuis des siècles.
L'ÉCONOMUSÉE de la lutherie fait partie d'un réseau qui comprend 50 entreprises artisanales dont 32 de métiers d'art et 18 agroalimentaires. Il s'étendra bientôt à des pays d'Europe du Nord comme la Norvège, l'Islande et l'Irlande.
Luthier depuis quatre décennies et seul Canadien à faire partie du jury de la lutherie au Concours international Tchaïkovski de Moscou, M. Saint-Michel a reçu le trophée Opus du Conseil québécois de la musique en reconnaissance de sa compétence comme facteur d'instruments.


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Friday, July 25, 2008

Évènement spécial au Musée du Château Ramezay


Rendez-vous avec l’Histoire!

Rencontre de deux régiments historiques

MONTRÉAL, le 24 juillet – Dans le cadre de l’exposition Peurs bleues, le Musée du Château Ramezay sera l’hôte d’une rencontre solennelle entre le groupe Tambours et Fifres La Fayette ainsi que la Compagnie Franche de la Marine, le dimanche 3 août à 10h.

Au son des fifres et des tambours, les deux compagnies militaires proposent un rendez-vous avec l’Histoire. La Compagnie Franche de la Marine fut envoyée en Nouvelle-France en 1683 pour protéger la colonie française en Amérique. Jusqu’à la capitulation de Montréal, elle prend part à tous les affrontements. Après la Conquête, bon nombre de soldats s’établissent dans la colonie.

Fiers représentants de la tradition musicale et de l’histoire maritime de la France, vêtus de la tenue du Corps Royal de la Marine de Rochefort (1772), les Tambours et Fifres de La Fayette commémorent la traversée de l’Atlantique effectuée par La Fayette, venu prêter main forte aux insurgés américains durant la Guerre d’indépendance des États-Unis. Le groupe de Rochefort est exceptionnellement au Québec pour participer à la Fête des chants de marins de Saint-Jean-Port-Joli, du 14 au 17 août.

Lors de cette rencontre, un échange de drapeaux symbolisera la fraternité établie non seulement entre les deux compagnies, mais aussi entre les deux pays. Parade militaire, démonstrations musicales et salves d’honneur couronneront cette rencontre mémorable qui se déroulera dès 10h, dans les jardins du Musée du Château Ramezay.

Un rendez-vous avec l’Histoire à ne pas manquer!

Rappelons que cet évènement est organisé en collaboration avec La Fête des chants de marins de Saint-Jean-Port-Joli et le Musée Stewart. L’exposition Peurs bleues présentée au Musée du Château Ramezay jusqu’au 19 octobre 2008, est une adaptation de l’exposition conçue par La Corderie Royale – Centre International de la mer à Rochefort.


Meeting With History!

Meeting between two historic regiments

MONTRÉAL, July 24, 2008 – In conjunction with the Here Be Monsters exhibition, the Château Ramezay Museum will host a formal gathering between the Tambours et Fifres La Fayette and the Compagnie Franche de la Marine groups on Sunday, August 3 at 10:00 a.m.

Accompanied by the sounds of fifes and drums, the two regiments have planned a meeting with History. The Compagnie Franche de la Marine was sent to New-France in 1683 to protect the French colony. This regiment was involved in all the armed disputes until Montreal’s surrender. After the defeat, several soldiers settled in the colony.

Proud representatives of the musical tradition and the maritime history of France, dressed in the Corps Royal de la Marine de Rochefort uniform (1772), the Tambours et Fifres La Fayette group will commemorate La Fayette’s voyage across the Atlantic Ocean to help fight with the American insurgents during the American Revolutionary War. The Rochefort Group is in Québec to take part in the Fête des chants de marins de Saint-Jean-Port-Joli from August 14 to 17, 2008.

Upon meeting, the two regiments will exchange flags which will symbolize the fraternity established between the two regiments and, what is more, the two countries. A military parade, several musical demonstrations and honorary salvos will conclude this memorable gathering that will begin at 10:00 a.m., in the Château Ramezay Museum’s gardens.

This is a meeting with history that you cannot miss!

Reminder that this event has been organized in combination with the La Fête des chants de marins de Saint-Jean-Port-Joli and the Stewart Museum. The Here Be Monsters exhibition is presented at the Château Ramezay Museum until October 19, 2008 and has been adapted from an exposition created by La Corderie Royale – Centre International de la mer à Rochefort.

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Tuesday, July 22, 2008

Provocation - ARTundressed, une exposition érotique et sensuelle internationale à Montréal



ARTundressed
Festival d'art érotique de Montréal, du 12 au 17 août de 14h00 à 23h00
Musée Juste pour rire 2100 boul. Saint-Laurent, Montréal


Dans le cadre de l'événement " Provocation Sensualité Érotisme " et en collaboration avec Le Bal Érotique et Erotic Signature, le Conseil des Arts du Québec (CAQ) accueille " ARTundressed " une exposition internationale en tournée (Miami, Montréal, Berlin, Amsterdam, Londres) avec plus de 150 artistes dont les œuvres côtoieront celles d'une trentaine d'artistes sélectionnées par le Conseil.

Plusieurs œuvres présentées à Montréal se retrouvent dans les tomes I et II du livre " The World's Greatest Erotic Art of Today ". Le tome III (sortie 2009) inclura aussi des œœuvres d'artistes québécois.

Provocation Sensualité Érotisme, six journées pour promouvoir positivement la sensualité, l'érotisme et la beauté à travers les arts : arts visuels, danse, performances, défilés de mode, musique, vidéo, films, lancement de livres et bien d'autres surprises.



Le Bal Érotique



Par cet événement, le Conseil des arts du Québec rejoint les objectifs du Bal Érotique :
· créer un événement culturel annuel visant à élargir les mentalités sur la sensualité et l'érotisme ;
· offrir un environnement artistique pluridisciplinaire ;
· établir une plateforme de réflexion sur l'esthétique et l'ouverture sur l'art érotique ;
· promouvoir la culture ainsi que la communauté artistique Québécoises et Montréalaises.

Prix d'entrée par journée: 10$
Passeport aux six jours de programmation: 30$
Membre du CAQ - escompte de 50%


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Wednesday, June 25, 2008

Passions et Scandales - Passions and Scandals


Passions et Scandales

MONTRÉAL, le 25 juin 2008 – Ah, les histoires de couple… L'amour est parfois douloureux, surtout lorsque le bourreau est impliqué ! Le Musée du Château Ramezay vous propose de participer à des procès historiques s'étant véritablement déroulés dans la colonie, en assistant à Passions et Scandales.

La foule pourra juger trois cas archivés qui ont fait scandale à Montréal entre 1658 et 1702. Que ce soit les manigances de sorcellerie de Bourjoly, les péripéties de Mathurine et de son mari bigame ou le meurtre sanglant du sieur La Chaume, chaque affaire implique un amant accusé d'un acte de vengeance. Mais si les histoires de cœur qui tournent mal ne datent pas d'hier, les méthodes punitives, elles, ont grandement changé. La femme du sieur La Chaume sera-t-elle bannie de Montréal? Bourjoly sera-t-il pendu? La cour de justice tranchera.

Les représentations ont lieu dans la Salle de Nantes, les jeudis (en français) et vendredis (en anglais) à 18h, en juillet et août.

Le Musée du Château Ramezay est situé en plein cœur du quartier historique du Vieux-Montréal, à deux pas du métro Champ-de-Mars et de la Place Jacques-Cartier, face à l'Hôtel de Ville.

Informez-vous des horaires de représentation au (514) 861-3708 poste 221

Forfait musée-théâtre disponible

Passions and Scandals

MONTREAL, June 25, 2008 – Oh, love stories… Love is sometimes painful, especially when the executioner is involved! The Château Ramezay Museum invites you to participate in historical trials that actually took place in New France by attending Passions and Scandals.

The audience will be able to judge three documented cases that scandalized Montreal between 1658 and 1702. Whether it is Bourjoly's hexing schemes, the misadventures of Mathurine and her bigamist husband, or the gory murder of sieur La Chaume, every case involves a lover accused of committing a vengeful act. But if these stories of love gone wrong happened centuries ago, would their punishments be the same? Would sieur La Chaume's wife be banished from Montreal? Would Bourjoly hang? The court of justice will lay down the law.

These performances will take place in the Salle de Nantes room on Thursdays (in French) and Fridays (in English) at 6:00 p.m., during July and August.

The Château Ramezay Museum is located right in the heart of Old-Montreal, next to the Champ-de-Mars metro station and the Place Jacques-Cartier, facing Montreal's City Hall.

To inquire about schedule information call (514) 861-3708 ext. 221

Museum-play package available

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Friday, May 23, 2008

France, Nouvelle-France. Naissance d'un peuple français en Amérique

Pointe-à-Callière présente
FRANCE, NOUVELLE-FRANCE
NAISSANCE D’UN PEUPLE FRANÇAIS EN AMÉRIQUE


Une exposition qui pose un nouveau regard sur la grande aventure du peuplement français sur le continent

Du 21 mai au 12 octobre 2008

L’exposition France, Nouvelle-France. Naissance d’un peuple français en Amérique rappelle les jours historiques de la fondation des premiers établissements français en Amérique du Nord et la nature du peuplement français sur le continent.

L’exposition est une coproduction de Pointe-à-Callière, musée d'archéologie et d'histoire de Montréal et du Musée d’histoire de Nantes/Château des ducs de Bretagne, deux musées situés de part et d’autre de l’Atlantique qui ont réalisé un fructueux partenariat pour explorer cette fascinante aventure.

Par des objets émouvants et des moyens originaux, l’exposition présente les étapes mouvementées au fil desquelles la présence francophone s’est ancrée en Amérique du Nord, avant même la venue de Jacques Cartier en Amérique, en 1534: tentatives d’abord infructueuses, premiers établissements – l'Île Sainte-Croix et Port-Royal en 1604 et 1605, Québec en 1608, Montréal en 1642 –, expansion de la Nouvelle-France, déchirures et défis nouveaux...

Mais l’exposition se distingue par le fait qu’elle pose un nouveau regard sur la nature du peuplement en Nouvelle-France, ce qui permet de lever le voile sur le caractère singulier et unique du peuplement colonial en terre d’Amérique. Quelque 150 objets – documents anciens, ethnographiques et d’autres provenant de lieux fondateurs – vont ponctuer ce parcours original.

L’originalité du peuplement : un apport féminin remarquable

Le regard différent que porte France, Nouvelle France sur le caractère singulier du peuplement du continent repose sur un fait inusité : dans l’histoire de l’immigration et de la colonisation européennes en Amérique du Nord, jamais l’immigration familiale initiale venue de France n’aura été aussi pauvre.

Ainsi, sur une période de 100 ans environ, à compter de 1608, la majorité des quelque 3200 unions pionnières à la base du peuplement sont à plus de 90% de jeunes couples formés en sol laurentien et non de ménages déjà constitués. Cela mènera à une «canadianisation» rapide de la population et dès le début des années 1700, on pourra parler de l’existence d’une société canadienne.

La formation systématique de couples – couples qui s’avéreront très féconds, notamment à cause de leur jeunesse – repose sur trois apports féminins remarquables :

* L’envoi massif d’épouseuses – les Filles du roi –, surtout entre 1663 et 1673 afin de retenir en colonie les célibataires masculins, des soldats et des engagés venus au départ travailler en Amérique et non pour s’y établir de façon permanente;

* Le mariage en très bas âge des premières «Filles du pays», entre 1680 et 1700, aux célibataires masculins, toujours en surnombre, qui continuent de venir en Nouvelle-France sur une base temporaire;

* La contribution des Amérindiennes des Pays d’En Haut – la Nouvelle-France amérindienne – qui deviennent les épouses des Canadiens de la vallée du Saint-Laurent impliqués dans le commerce des fourrures.

Une colonie à l’avenir incertain

On pourra aussi découvrir, dans l’exposition, les motivations des monarques français, de François 1er à Louis XIV, à vouloir coloniser et revendiquer les territoires du Nouveau Monde. On verra ce qui incitait les sujets français à quitter leur mère patrie pour choisir une colonie à l'avenir incertain : recherche d'une vie meilleure, contrat de travail de courte durée, service militaire, départ plus ou moins volontaire d'orphelines... ou simple besoin d'aventure.

Les fondations de Trois-Rivières (1634) et de Montréal (1642) en plus de quelques-uns des centres névralgiques de France et de l’Amérique française comme Nantes, La Rochelle, l’Acadie, la vallée du Saint-Laurent, la région des Grands Lacs et enfin la Louisiane font aussi partie du propos de l’exposition.

Une attention toute particulière est accordée aux Amérindiens. La survie des colons, l’expansion politique et économique et la connaissance même du territoire de la Nouvelle-France reposent dans une large mesure sur la contribution incontournable, mais combien méconnue, des nations amérindiennes. La Nouvelle-France, 20 fois moins peuplée que la Nouvelle-Angleterre, a réussi à se maintenir en position de force grâce à ses alliés amérindiens.

Cinq périodes cruciales

Par une approche humaine et intimiste plutôt qu’événementielle de l’histoire, l’exposition couvre cinq périodes majeures de l’implantation française en Nouvelle-France, à compter des années 1500, depuis l’arrivée de pêcheurs et explorateurs dans les «terres neuves» du Nord-Est, jusque sur les chauds rivages de la Louisiane.

1500 – 1600 : Tentatives
Le 16e siècle voit les premières explorations de Jacques Cartier, en 1534 et 1535, et l'afflux de pêcheurs européens attirés par la richesse des eaux des « terres neuves » et de l'estuaire du Saint-Laurent. Des millions d'Amérindiens étant présents depuis longtemps sur le continent nord-américain, leurs premiers contacts avec des Européens constituent un propos majeur.

1600 – 1650 : Ancrages
Le 17e siècle s’avère la période la plus décisive de l'implantation française en Amérique du Nord. Aux tentatives précédentes succèdent les fondations qui se veulent permanentes, véritables coups d’envois à la colonisation : Île Sainte-Croix et Port-Royal (Acadie) en 1604-1605 ; Québec en 1608 ; Trois-Rivières en 1634 ; Montréal en 1642.

1650 - 1700 : Assises
Il s’agit de la partie la plus importante de l’exposition, celle où l’on comprend en quoi consiste l’originalité du peuplement. Nous observerons en particulier le rôle des Canadiennes comme pionnières, un aspect assez peu traité dans l’histoire de la Nouvelle-France. En 1663, la France adopte une véritable politique coloniale, par le biais de mesures visant à peupler de Français les territoires explorés par ses ressortissants – et sur lesquels elle entend exercer sa prédominance. Louis XIV envoie, par centaines, des filles à marier, les « filles du roi ». Ces mesures, et la fécondité des unions ainsi formées, établissent de manière irréversible une population française sur le continent.

1700 – 1750 : Expansions
Les personnes nées en Nouvelle-France constituent désormais la majorité de la population. L’apport de l’immigration métropolitaine n’est plus dominant, mais garde son importance par le type d’immigrants qui arrivent au pays. Il y a aussi des mouvements migratoires intérieurs, alors que les « enfants du pays » s’en vont coloniser d’autres territoires de la Nouvelle-France, dont la Louisiane.

1750 – 1800 : Fin… et suite!
La Guerre de Sept Ans, au cours de laquelle France et Angleterre s'affrontent par colonies interposées, donne lieu à d'importants mouvements migratoires entre la Nouvelle-France et l'Europe. La déportation des Acadiens (1755) constitue l'un des plus importants déplacements de population de cette période agitée. Des hommes, femmes et enfants débarqués de force dans les colonies britanniques ou en Europe, certains reviendront en Acadie, alors que d'autres s'installeront en Louisiane, là où des Cajuns se sont établis.

Mais si la Conquête britannique a mis un terme à la Nouvelle-France, colonie française d'Amérique du Nord, elle n'a pas pour autant effacé une présence française désormais solidement ancrée en terre d'Amérique. Acadiens, Québécois, francophones du reste du Canada ou des États-Unis... ils sont 15 millions, aujourd'hui, à continuer de parler français en Amérique du Nord.

Programmation thématique

En marge de cette exposition, Pointe-à-Callière présente tout au long de l’année 2008 une importante programmation d’activités sous la thématique France, Nouvelle-France. Cette programmation comprend des expositions, des conférences, des activités culturelles, des animations, des circuits guidés et des visites virtuelles. Voir document ci-joint. (Prog_FN-F.pdf)

Une lecture indispensable

Complément idéal à l’exposition, un ouvrage accessible et magnifiquement illustré présente l’aventure du peuplement français en Amérique. On y découvre le rôle crucial des alliances franco-amérindiennes dans l’essor de la Nouvelle-France, et l’apport croissant de l’archéologie dans la compréhension du métissage des communautés. L’ouvrage éponyme est une coproduction de Pointe-à-Callière et du Musée d’histoire de Nantes/Château des ducs de Bretagne.

L’exposition a été présentée à Halifax en 2004, puis à Moncton en 2005. La tournée française a débuté au Musée d’histoire de Nantes/Château des ducs de Bretagne en 2007. Elle a ensuite été accueillie par la maison Champlain à Brouage et par le Château-musée de Dieppe; elle a finalement fait un arrêt au début 2008 à la Maison de l’émigration française au Canada de Tourouve avant de revenir à Pointe-à-Callière où elle sera présentée à compter du 21 mai dans une version revue et augmentée.

L'exposition France, Nouvelle-France. Naissance d’un peuple français en Amérique est réalisée en coproduction par Pointe-à-Callière, musée d'archéologie et d'histoire de Montréal et le Musée d’histoire de Nantes/Château des ducs de Bretagne.

Cette exposition bénéficie du soutien du ministère du Patrimoine canadien pour les programmes suivants : Aide aux musées, Partenariat culturel et économique du Canada atlantique de l'Agence de promotion économique du Canada atlantique et l'Accord Canada-France pour la coopération et les échanges dans le domaine des musées. Le ministère des Affaires étrangères et du Commerce international du Canada a aussi apporté son soutien par son Programme Canada-France 2004.

Pointe-à-Callière remercie ses précieux partenaires : le Ministère de la culture et de la communication de France, la Direction des musées de France, la Mairie de Nantes, Air Canada, Tourisme Montréal, Historia, Le Centre Sheraton Montréal, La Presse et The Gazette. Cette activité est accréditée par la Société du 400e anniversaire de Québec.

Le Musée est subventionné par la Ville de Montréal

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