LSM Newswire

Friday, October 31, 2008

CCA applauds CRTC's decision to support Canada's cultural sector / La Conférence canadienne des arts se réjouit de la décision du CRTC d'appuyer la programmation canadienne


CCA applauds CRTC’s decision to support Canada’s cultural sector


The CRTC’s decision to support local Canadian programming clearly meets the requirements of Canada’s broadcasting legislation and Canadians’ desire, for more and better-funded Canadian programming, says Canada’s oldest and largest arts advocacy and cultural policy development organization, the Canadian Conference of the Arts (CCA).

“By strengthening cable and satellite companies’ financial commitments to Canadian content and enabling broadcasters in all but five locations to improve the local service they provide to Canadian audiences, the CRTC has acted to ensure that most Canadians will be able to hear and watch more high-quality programming made about Canadians, by Canadians and for Canadians,” said CCA’s National Director, Alain Pineau. “We are delighted that after so many years of deregulatory policies whose perverse result was to encourage increased spending on foreign imports at the detriment of programs made in Canada, the Commission is now acting to support and strengthen Canada’s cultural sector.”

Pineau also welcomed the CRTC’s clear desire for enforceable and enforced programming objectives. “Setting out measurable local programming targets in the CRTC spring 2009 TV licence renewal hearings is the most effective and efficient way to ensure that Parliament’s objectives for our broadcasting system are being met,” said Pineau. “CCA welcomes the Commission’s decision to act in light of the benefits its policy will bring to the economy through increased employment and opportunities for investment.”

CCA’s written and oral presentation to the CRTC focussed on the need for effective and efficient regulation in the public interest, and emphasized the importance of the cultural sector to the economy as a whole. According to a Conference Board of Canada report published in August 2008, every dollar of real value-added GDP produced by Canada’s culture industries, generates roughly $1.84 to Canada’s overall real GDP.

CCA’s mandate is to be the national forum for the arts and cultural community in Canada; to provide research, analysis and consultations on public policies affecting the arts and the Canadian cultural institutions and industries; to foster informed public debates on policy issues; and to seek to advance the cultural rights of Canadians.

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La Conférence canadienne des arts se réjouit de la décision du CRTC d’appuyer la programmation canadienne

La Conférence canadienne des arts (CCA) estime que la décision du CRTC d’appuyer la production d’émissions locales canadiennes est conforme aux objectifs de la Loi sur la radiodiffusion et au désir des citoyens d’avoir accès à des programmes de qualité qui réflètent leur réalité proche.

Selon le directeur général de la CCA, Alain Pineau, « En reforçant les obligations financières des compagnies de câble et de satellite et en donnant aux diffuseurs partout sauf dans cinq localités les moyens d’améliorer leurs services locaux, le Conseil a fait en sorte que la majorité des citoyens pourront voir davantage de programmes de meilleure qualité, faits pour eux et près de chez eux. » M. Pineau a ajouté: « Nous sommes ravis qu’après tant d’années de déreglementation dont l’effet principal aura été d’augmenter l’achat d’émissions étrangères aux dépens de la production domestique, le CRTC agit maintenant de façon à renforcer notre culture nationale. »

La CCA se réjouit également de voir le CRTC adopter des mesures pour que les objectifs de programmation fixés soient effectivement respectés. « En établissant des cibles quantifiées de programmation lorsqu’il procédera au printemps 2009 au renouvellement des licences des diffuseurs privés, le CRTC a choisi la façon la plus efficace et efficiente de mesurer comment sont atteints les objectifs culturels que le Parlement canadien a fixés pour notre système de radiodiffusion », déclare Alain Pineau. « La CCA accueille avec satisfaction cette décision du Conseil qui entraînera de plus des bénéfices économiques en créant de l’emploi et des possibilités d’investissement. »

Les présentations de la CCA devant le CRTC étaient centrées sur le besoin d’une réglementation effective et efficace, visant l’intérêt public en général et reconnaissant l’importance du secteur culturel dans la société et l’économie canadienne. Selon une étude récente du Conference Board du Canada, chaque dollar de valeur ajoutée par les activités culturelles au pays contribue ultimement l’équivalent de 1,84 $ au produit national brut.

Le mandat de la Conférence canadienne des arts (CCA) est d’être le forum national de la communauté artistique et culturelle au Canada. Elle effectue des recherches, produit des analyses et fournit des expertises sur les politiques publiques concernant les arts, les institutions et les industries culturelles canadiennes. La CCA favorise et éclaire le débat public entourant les enjeux politiques et travaille à la promotion des droits des Canadiens en matière de culture.

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Wednesday, June 11, 2008

15e édition du Marché public de Pointe-à-Callière

L'Union des producteurs agricole (UPA) présente

Le Marché public de Pointe-à-Callière, dans l’ambiance du 18e siècle
15e édition

Samedi 23 août, de 10 h à 20 h
Dimanche 24 août, de 10 h à 18 h
Sur la place Royale et aux abords du Musée
ÉVÉNEMENT GRATUIT

Montréal, le 12 juin 2008 – Pour sa quinzième édition, Le Marché public de Pointe-à-Callière dans l’ambiance du 18e siècle fait un retour aux sources et propose de découvrir la vie du marché public, comme au temps de la Nouvelle-France.

Événement incontournable du Vieux-Montréal,
Le Marché public de Pointe-à-Callière offre une expérience unique à qui souhaite se divertir en fréquentant, l’espace d’un week-end, un marché aux airs festifs qui présente aliments et produits en plus de revisiter la réalité des occupants sous le Régime français.

L’événement se déroule sur la Place Royale, soit sur le lieu exact du premier marché public à Montréal. À cette époque, on trouvait de tout au marché et dans les boutiques avoisinantes. Le marché avait lieu deux fois par semaine et les gens étaient tenus de se rendre au marché pour faire la vente de leurs produits.

Aussi, comme la place du marché constituait, suivant la tradition européenne, la principale place publique de la ville, c'est là que l'huissier faisait lecture des ordonnances, et que paysans, commerçants, cabaretiers, ouvriers, voyageurs, soldats, matelots, nobles, bourgeois et fonctionnaires se côtoyaient pour vendre et acheter, tout en échangeant nouvelles et potins... C'est là encore que musiciens ambulants, amuseurs publics et artisans faisaient d'une journée au marché un vrai plaisir!

Et c’est ce voyage au cœur de l’histoire que propose Pointe-à-Callière, plus de 250 ans plus tard.

Produits et denrées de l’époque

En flânant parmi les nombreux étals du Marché public de Pointe-à-Callière, les visiteurs pourront déguster produits et denrées caractéristiques du 18e siècle, et s’approvisionner en produits divers : gelée de fruits sauvages, truffes au chocolat, produits de l’érable, terrines et rillettes de wapiti, fromages, fines herbes, galettes de sarrasin, marinades de têtes de violon, hydromel, alcool de fruits, cidre, savons artisanaux, sans oublier la fameuse bière d’épinette de Pointe-à-Callière.

Le Marché propose aussi des alcools, du miel, de la moutarde, des fines herbes, de la gomme de sapin, de l’huile d’olive (à cette époque, importée de France), des canneberges, des cerises de terre, du melon de Montréal, des plantes médicinales, des produits de chanvre, des bleuets, des confitures de petits fruits et des vinaigres aromatisés.

Les produits vendus aux étals du marché ont fait l’objet de recherches rigoureuses, afin de s’assurer qu’ils étaient bel et bien communs à la Nouvelle-France de l’époque; ces produits sont aujourd’hui vendus selon les normes sanitaires actuelles.

Dans un souci de respect des faits historiques, les producteurs agricoles tout comme les artisans, musiciens et animateurs vont revêtir des costumes et présenter des animations qui rappellent l’ambiance du 18e siècle.

Une fin de semaine riche en animation

Le volet animation regroupe conteurs, musiciens et artisans qui présentent des démonstrations de leur savoir faire. Une centaine de personnages d’époque ainsi que deux régiments militaires vont établir leurs quartiers à Pointe-à-Callière et animer avec verve la place publique durant tout le week-end.

À ne pas manquer,
L’herbe à dinde, un conte de l’UPA, un conte du terroir pour petits et grands, sera présenté sur la scène de l’auberge le samedi et le dimanche. Dans ce conte inédit, créé spécialement pour le Marché public, le conteur professionnel Éric Michaud, mieux connu sous le nom de son personnage Ubert Sanspré, raconte l’histoire de Jean-Baptiste. Le cultivateur, amoureux de sa terre, voit sa vie paisible troublée à l’arrivée d’un nouveau seigneur dans son patelin.

Plusieurs activités du
Marché public sont destinées aux tout-petits qui auront la chance de se costumer à la mode de la Nouvelle-France et jouer à des jeux d’époque comme les pinnes et les dames.

Zone contemporaine

Le Marché public propose aussi une zone contemporaine appelée Mémoires de Nouvelle-France, où les curieux peuvent essayer de retracer leurs origines et reprendre contact avec des traditions françaises gardées vivantes depuis plus de deux siècles. Plusieurs partenaires du Musée sont invités à partager avec les visiteurs leur savoir historique, archéologique et généalogique. La Société généalogique canadienne-française, la Société historique de Montréal, ainsi que plusieurs familles souches du Québec seront présentes dans cette section.

D’autre part, grâce à
La ville sous la ville, une animation archéologique au cœur du premier centre-ville de Montréal, le visiteur pourra découvrir la première place du Marché et son quartier des affaires ainsi que la résidence du gouverneur de Maisonneuve.

Pour les plus jeunes, l’animation appelée
Archéologues en herbe deviendra une occasion idéale pour en apprendre un peu plus sur le métier d’archéologue. Dans un espace de découvertes, les jeunes vont participer à une simulation de fouilles en compagnie d’un guide-animateur archéologue. Leur mission sera de mettre au jour les traces liées à différentes périodes de l’histoire de Montréal.

Ces deux dernières activités se déroulent en marge du Mois de l’archéologie.

L’activité culturelle Le Marché public dans l’ambiance du 18e siècle est présentée par l’Union des producteurs agricoles (UPA). Ce projet est réalisé dans le cadre de l’Entente sur le développement culturel de Montréal et bénéficie du soutien du Secrétariat aux affaires autochtones. Le Musée remercie également les quotidiens La Presse et The Gazette pour leur participation à la promotion de l’événement.

Le Musée est subventionné par la Ville de Montréal.

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Monday, May 26, 2008

The 7th Biennial ASHKENAZ Festival!


THE 7th BIENNIAL ASHKENAZ FESTIVAL
Harbourfront Centre
August 26 - September 1, 2008
MOST EVENTS FREE!

The 7th ASHKENAZ FESTIVAL takes place August 26 to September 1, 2008, at Harbourfront Centre and various satellite locations throughout Toronto, Canada.
Programming highlights include Jewish funk supergroup Abraham Inc. (featuring Fred Wesley, David Krakauer, and Socalled); Argentinian Yiddish Tango diva Zully Goldfarb; legendary mandolinist/clarinetist Andy Statman; Ukrainian brass band Konsonans Retro; Kosher Gospel with Joshua Nelson; Russian Klezmer garage band Nayekhovichi; Sephardic Jewish music with Pharaoh's Daughter, Flory Jagoda and Spain's Mashala; and from Canada, jazz pianist Marilyn Lerner, Ken Whiteley & David Wall, Theresa Tova, Shtreiml, Beyond the Pale, Michael Wex, Allen Merovitz, Sisters of Sheynville, and many more.

The ASHKENAZ FESTIVAL is one of the world's largest public celebrations of Yiddish and Jewish culture. Each edition of this multidisciplinary event presents approximately 50-75 artists/groups from Canada and around the world, working in music, film, theatre, dance, literature, craft, and visual arts. This year's festival promises as diverse a program as ever, with artists from over a dozen countries. Once again the famous Ashkenaz Parade will enliven Harbourfront Centre on Labour Day with a community celebration featuring music, dance, massive puppets, stilt-walkers, and overall group revelry, featuring Shadowland Theatre.

The ASHKENAZ FESTIVAL was founded in 1995 by David Buchbinder, Bruce Rosensweet, and Dianne Wienrib. The 2008 Festival celebrates the organization's "Bar Mitzvah," and will be the first Ashkenaz Festival presented by the new (as of fall 2006) management team of Executive Director Karen Tisch and Artistic Director Eric Stein.

The Ashkenaz Foundation is a community-based non-profit organization which fosters an increased awareness of Yiddish and Jewish culture through the arts. Showcasing the work of leading contemporary artists from Canada and around the world, Ashkenaz places an equal emphasis on preservation and innovation within its cultural milieu. ASHKENAZ FESTIVAL programming incorporates many other manifestations of Jewish music and art beyond Klezmer/Yiddish, and actively pursues fusion and cross-cultural exchange with artists from outside Jewish cultural traditions through commissioned work and special projects. The Ashkenaz Foundation places a strong emphasis on local and emerging talent, as well as on education and community outreach.


THE 7th BIENNIAL ASHKENAZ FESTIVAL
August 26 - September 1, 2008
HARBOURFRONT CENTRE
MOST EVENTS FREE!
416.979.9901 or www.ashkenazfestival.com
416.473.4000 or www.harbourfrontcentre.com

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