Terra Bella de Natalie Choquette : Le Voyage se Poursuit
Montréal, le 10 novembre 2009 – Voilà plus d'un an que Natalie Choquette s'est lancée dans une folle – et émouvante – odyssée aux quatre coins de la planète. Reçu comme une carte postale musicale en novembre 2008, l'album Terra Mia témoignait de ses escales et de ses découvertes. Aujourd'hui, la soprano poursuit son tour du monde des musiques traditionnelles avec TERRA BELLA, un disque hommage à la beauté de l'ailleurs et à la diversité culturelle.
Le périple commence en France avec la célèbre chanson J'attendrai de Dino Oliveri, popularisée par Dalida en 1975. De là, Natalie Choquette met le cap sur Cuba avec une belle chanson de trova, ensuite sur Naples, dans un émouvant duo avec la voix touchante du québécois Michaël, sur l'Acadie (en trio avec Pierre Robichaud du célebre groupe acadien 1755 et la jeune acadienne Frédérique Cyr-Deschênes (13 ans), les États-Unis, la Russie (en yiddish), la Grèce, l'Australie, l'Espagne et l'Afrique de l'Ouest en duo avec Basile Seni du Burkina Faso.
En chemin, « La diva » prend le temps de revisiter le très québécois Soir d'hiver, un poème d'Émile Nelligan mis en musique par Claude Léveillé et interprété la première fois il y a plus de 40 ans par Monique Leyrac. Et c'est en Italie que s'achève le voyage de TERRA BELLA, avec
des retrouvailles familiales et vocales : accompagnée de ses trois filles – Florence K, Éléonore Lagacé (12 ans) et Ariane Lagacé (9 ans) –, Natalie Choquette y reprend Il mio canto libero, une chanson qui a bercé son adolescence lorsqu'elle habitait l'Italie en 1972 et qui, depuis, a été reprise par… la populaire équipe de soccer de la Juventus!
Véritable « Sésame, ouvre-toi » de toutes ces cultures, la voix cristalline de la soprano change de langue et de rythme pour épouser chaque tradition comme si c'était la sienne. La mise à contribution d'instruments traditionnels – violon tzigane, flûte irlandaise, didgeridoo australien, mandoline, n'goni, balafon, conga, harmonica – contribuent aussi à donner à TERRA BELLA un son résolument authentique.
Le périple commence en France avec la célèbre chanson J'attendrai de Dino Oliveri, popularisée par Dalida en 1975. De là, Natalie Choquette met le cap sur Cuba avec une belle chanson de trova, ensuite sur Naples, dans un émouvant duo avec la voix touchante du québécois Michaël, sur l'Acadie (en trio avec Pierre Robichaud du célebre groupe acadien 1755 et la jeune acadienne Frédérique Cyr-Deschênes (13 ans), les États-Unis, la Russie (en yiddish), la Grèce, l'Australie, l'Espagne et l'Afrique de l'Ouest en duo avec Basile Seni du Burkina Faso.
En chemin, « La diva » prend le temps de revisiter le très québécois Soir d'hiver, un poème d'Émile Nelligan mis en musique par Claude Léveillé et interprété la première fois il y a plus de 40 ans par Monique Leyrac. Et c'est en Italie que s'achève le voyage de TERRA BELLA, avec
des retrouvailles familiales et vocales : accompagnée de ses trois filles – Florence K, Éléonore Lagacé (12 ans) et Ariane Lagacé (9 ans) –, Natalie Choquette y reprend Il mio canto libero, une chanson qui a bercé son adolescence lorsqu'elle habitait l'Italie en 1972 et qui, depuis, a été reprise par… la populaire équipe de soccer de la Juventus!
Véritable « Sésame, ouvre-toi » de toutes ces cultures, la voix cristalline de la soprano change de langue et de rythme pour épouser chaque tradition comme si c'était la sienne. La mise à contribution d'instruments traditionnels – violon tzigane, flûte irlandaise, didgeridoo australien, mandoline, n'goni, balafon, conga, harmonica – contribuent aussi à donner à TERRA BELLA un son résolument authentique.
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