La Scena Musicale

Friday, February 5, 2010

Cette semaine à Montréal (1 à 7 fév) / This Week in Montreal (Feb. 1 - 7)

Musique, théâtre, et danse à Montréal cette semaine
Music, theatre, and dance in Montreal this week

Théâtre : En février, le Théâtre du Rideau vert met à l’affiche Une musique inquiétante, de l’auteur américain Jon Marans, pièce finaliste en 1996 du Prix Pulitzer et lauréate du L.A. Drama Logue Award, reprise dans une douzaine de pays depuis sa création. Le jeune pianiste prodige Stephen Hoffman (Émile Proulx-Cloutier) débarque à Vienne en 1986 pour étudier avec le grand Schiller, mais il se retrouve plutôt dans la classe du déclinant Mashkan, professeur de chant sentimental (Jean Marchand). Il lui donne à travailler les Dichterliebe de Schumann, ce qui révolte d’abord le jeune pianiste. Ces deux hommes que tout semble opposer (âge, race, culture, façon d’aborder la vie) finiront pourtant par aller à la rencontre l’un de l’autre, non pas tant à travers leur dialogue qu’à travers la musique. Le 9-13 fév. - Lucie Renaud

Theatre: MICHEL AND TI JEAN, By George Rideout. In 1969, 27 year-old Michel Tremblay, having just published Les Belles Soeurs, sets out to meet the “king of the Beatniks” and his favourite writer, Jack Kerouac, at a bar in St. Petersburg, Florida. Despite an initial reticence on Kerouac’s part, the two prolific writers hit it off and share their thoughts on the art of writing, inspiration, sports, music, religion and the thing that they share in common: their Quebecois heritage. Though fictitious, Michel And Ti Jean is an evocative and spirited glimpse into the poetic and philosophical world of North American literature. Feb. 9-14. Centaur Theatre (453 St. François-Xavier) 514-288-3161

Danse : SPLINTERGROUP, Roadkill. Voyage au coeur de l’agoraphobie et de la solitude de l’outback australien, roadkill, du collectif Splintergroup de Brisbane, nous plonge littéralement dans la tête des trois personnages. L’oeuvre explore leurs peurs et leurs perceptions faussées du paysage et de ses dangers. À leurs inquiétudes se mêlent les mythes urbains, les disparitions de routards, la soif, l’amour, la méfi ance et l’âpre solitude de la brousse. À mi-chemin entre le road movie et le thriller, roadkill est une virée terrifi ante dans l’univers d’un couple qui tombe en panne au beau milieu d’un endroit perdu et découvre que le plus grand danger n’est pas son isolement. Ces différents états psychologiques sont évoqués par une gestuelle intensément physique, frôlant constamment le risque et le vrai danger. Produit par Brisbane Powerhouse and Dancenorth. Le 10-13 fév. Place des Arts Cinquième Salle (175, rue Sainte-Catherine Ouest) 514 842-2112


Baroque Music: The Arion Baroque Ensemble and its Artistic Director Claire Guimond usher in the New Year with concerts on February 11, 13 and 14 at McGill’s Redpath Hall. Australian guest violinist Elizabeth Wallfisch will lead the 19-piece orchestra in excerpts from Henry Purcell’s The Fairy Queen. With a libretto based on Shakespeare’s A Midsummer Night’s Dream, this is some of Purcell’s most delightful music, written two years before his death, at the age of 35. The contagious energy of Wallfisch’s playing should nicely complement Arion’s vibrant style. 514-355-1825,  - Hannah Rahimi

Musique de chambre : Le vendredi 12 février à 20 h, dans le cadre de la série Hommage à Gilles Tremblay, le Trio Fibonacci présente le concert 3,2,1. Le trio interprétera, en formation solo, duo ou trio, des pièces de Tremblay, Palacio-Quintin, Boivin et le Trio op. 80 de Schumann. Formé à Montréal en 1998, l’ensemble mène aujourd’hui une brillante carrière internationale. 514-872-5338. - Renée Banville

Musique de chambre : À la salle de concert du Conservatoire, on entendra le vendredi 12 février à 20 h le Trio Hochelaga formé de la violoniste Anne Robert, du violoncelliste Paul Marleyn et du pianiste Stéphane Lemelin. Le trio accueillera comme invitée l’altiste Teng Li dans un programme Fauré, Lekeu et Schumann. Teng Li occupe depuis 2004 le poste de premier alto à l’Orchestre symphonique de Toronto.  - Renée Banville

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Une musique inquiétante

Crédit : Jean-François Hamelin

Par Lucie Renaud

Stephen Hoffmann, prodige qui ne joue plus depuis un an, débarque à Vienne en 1986 pour étudier avec le grand Schiller, mais il se retrouve plutôt dans la classe du déclinant Mashkan, professeur de chant sentimental et ambigu. Ce dernier lui donne à travailler les Dichterliebe (L'amour du poète) de Schumann, ce qui révolte d’abord le jeune pianiste, qui ne comprend pas comment  un travail vocal pourra ranimer la flamme éteinte en lui. Ces deux hommes que tout semble opposer (âge, race, culture, façon d’aborder la vie) finiront pourtant par aller à la rencontre l’un de l’autre, non pas seulement à travers leur dialogue, mais aussi à travers la musique de Schumann.

Pour transmettre ce texte entre huis clos, duel et récit initiatique, il était essentiel de trouver deux comédiens plus grands que nature. Émile Proulx-Cloutier est convaincant dans la peau du jeune pianiste, en révolte contre son passé (aussi bien celui de musicien que celui de sa famille, juive) et qui espère qu'on lui proposera une recette miracle pour sortir de son marasme. Il faut le voir d’abord contempler le piano avec une violence presque féroce pour comprendre que la route sera forcément parsemée d'embuches. Lors de la première partie de la prima, il s'est peut-être un peu laisser écraser par le jeu totalement habité de Jean Marchand, qui se glisse dans le rôle de Mashkan aussi facilement qu'on endosse un costard de concert, habitué depuis plusieurs années à louvoyer entre scènes théâtrale et musicale. Dans la deuxième partie du spectacle, on a pu assister à un véritable dialogue et non plus à un jumelage plus traditionnel soliste/accompagnateur.

Il m’est très difficile de porter un regard objectif sur le texte lui-même de la pièce, le propos m'ayant touchée profondément à plus d'un égard, que ce soit à travers certaines réflexions sur le geste musical, sur les évocations détaillées de l'un ou l'autre des lieder du cycle de Schumann (qui reste l'une de mes œuvres préférées, toutes catégories confondues) ou sur les questionnements face à l'oubli apparent de l'Autriche de son passé nazi. D'un point de vue musical, j'aurais aimé que la voix du jeune chanteur apprenti projette un peu plus et nous transmette un peu mieux la densité musicale, mais je réalise qu'il est utopique de pouvoir exiger d'un comédien qu'il chante autrement que de façon plus « scolaire » ces pages et que, si l'on souhaite être en accord avec la prémisse même du texte, il ne pourrait atteindre un tel niveau en quelques leçons. (Il est déjà remarquable qu'il ait pu chanter de telles pages et jouer en plus, de façon plus qu'honnête, certains extraits du répertoire pianistique.)

La pièce est présentée en français en février au Théâtre du Rideau Vert et sera reprise en mars, par les mêmes acteurs, en version originale (Old Wicked Songs) au Segal Centre.

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Thursday, February 4, 2010

Evil Iago stole the show in new Otello

By L.H. Tiffany Hsieh

The music is so achingly beautiful in Verdi's operas that one sometimes forgets to follow the surtitles.

But in a classic Shakespearean story about hate and jealousy, deception and devotion, it's pure human emotions that tell the story the best, and that was evident on stage in the
February 3 Canadian Opera Company new production of Otello.

Led by Italian conductor Paolo Olmi, the COC orchestra delivered an excellent performance in Verdi's four-act tragic opera. Olmi brought out a wide range of sombre colours in the score and reinforced the many cunningly dramatic climaxes with delicacy and volatility.

Clifton Forbis as Otello displayed both authority and vulnerability as a leader who has been toyed with into thinking his young wife, Desdemona, has betrayed him. The American tenor, who last performed with the COC as Siegmund in Die Walküre, was believable as an actor and generous as a singer.

The lovely Desdemona was sung by Italian soprano Tiziana Caruso, who makes her COC debut in this production. Caruso has a big voice. So big in fact, at times she drowned out her fellow cast members in numbers such as the Dammi la dolce e lieta parola quartet in Act 2 between Otello, Desdemona, Iago, and Emilia.

However, Caruso had the audience wrapped around her unshamefully hearty lyricism in the Otello-Desdemona love duet at the end of Act 1. Forbis matched her volume nicely here, both sounding beautiful and looking mesmerizing.

American baritone Scott Hendricks stole the show as the evil Iago, who deceives Otello into believing that Cassio and Desdemona are lovers. Chillingly charismatic, Hendricks' soliloquy was scheming, his sotto voce gripping — he was the perfect villain.

Unfortunately, Cassio, sung by Italian tenor Emanuele D'Aguanno, and Emilia by American mezzo-soprano Jamie Barton, were the weak links here. Both COC first timers, their overall performances did little to add to the tension-driven production.

Kudos to Scottish director Paul Curran for his minimalist and clever approach to Otello, often considered Verdi's most-challenging work. The spacious set and period costumes by Paul Edwards are exceptionally beautiful and David Martin Jacques' lighting created movement and suspense beyond the stage.

This production won't make you jump out of your seat, but not every production is meant to do that.

COC's Otello is a new co-production with the Welsh National Opera. It continues at the Four Seasons Performing Arts Centre on Feb. 6, 10, 13, 16, 19, 22, 25 and 28.

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Tuesday, February 2, 2010

Chabrier's L’Étoile Shines Bright for Austin Lyric Opera!



Emmanuel Chabrier’s operetta or opéra-bouffe, L’Étoile (The Star), was a consummate success at its premiere in Paris in 1877; then, it all but disappeared from the repertoire.

John Eliot Gardiner, a celebrated interpreter of Monteverdi and Bach, brought L’Étoile back to life when he mounted a production at the Opéra National de Lyon in 1986. Since then, opera companies all over the world have added this comic gem to their repertoire - one of the latest among them, Austin Lyric Opera. The ALO production which opened January 30th to a near capacity house, was a triumph.

Kevin Patterson, the general director of Austin Lyric Opera, has consistently shown a remarkable flair for making opera entertaining, first and foremost. He understands that in a community without a long operatic tradition and with only three productions a year, he cannot present a heavy-duty 'grand opera' program and expect to sell tickets; rather he must adopt a more populist strategy that 'educates' the audience without appearing to do anything of the sort.

Patterson's apparent strategy notwithstanding, opera and operetta at their best can have a very direct appeal if they are done in a multi-media style that does not hesitate to learn from the likes of Broadway, Hollywood or Cirque du Soleil. Over the last few years, Austin audiences have been charmed by the likes of an Austin-infused production of Die Fledermaus and Rossini’s Cinderella. They have been powerfully moved by Poulenc’s Dialogue of the Carmelites and Verdi’s Rigoletto. With L’Étoile, Patterson has scored again, by wisely mounting a magic production that has already proven itself a huge hit in New York, Montreal, Cincinnati and Glimmerglass.

Outstanding Sets and Costumes

What grabs the audience right from the start in this production are the sets and costumes, originally created by Glimmerglass Opera and the New York City Opera by Andrew Lieberman (sets) and Constance Hoffman (costumes). We know we're in for a night of fun when King Ouf appears as a re-channeling of 'The Little King' of comic strip fame. He is diminutive, sports a ridiculous mustache and wears an ermine robe in the shape of a round lampshade, which drags along the floor behind him. Veteran Jean-Paul Fouchécourt didn’t have to sing a note or say a word to have the audience convulsed in laughter.

Then there's the male chorus, all dressed in black suits and hats, carrying umbrellas. Here again, the way they look and the way they move is, in itself, amusing. Before long we have other characters dressed in the brightest of colors, carrying through the comic strip concept.

As the convoluted, not to say absurd, story of the opera unfolds, we begin to appreciate the fine work of Canadian director Alain Gauthier. He knows all about comic timing and how to be witty, without resorting to slapstick at every turn. It also helps that L’Étoile is 'sung' in the original French with surtitles, while the 'spoken dialogue' is in English with a smattering of French.

I assume that some of the English dialogue was added by recent hands in order to make it palatable and funny for contemporary audiences. In my opinion, even more could have been done in this vein - especially in Act I - to make the dialogue really sparkle. On opening night, Act I had other problems as well. It was slow and some of the ensembles were more than a little rough.

Second and Third Acts Rachet up Music and Comedy

All was forgiven after intermission, however, with the cast settling in and conductor Richard Buckley moving the music along with a little more animation. One could argue that the improvements resulted from better music and more opportunity for comic action in Acts II and III .

One of the highlights of this production was undoubtedly the drunken duet (over multiple glasses of 'green chartreuse') between the King and his astrologer Siroco (Kevin Glavin). Director Alan Gauthier made the most of the already comic difference in size between the King and Siroco and they sang and acted with enormous hilarity. To top it off, their increasing inebriation was brilliantly underscored by the swaying sparkling yellow/green wall of curtains behind them.

As far as I could tell, there was only one local reference in this production; the Mayor appears in the last act, wearing an oversized black Stetson, looking for all the world like a stereotypical Texan.

Chabrier’s music might best be described as Gilbert and Sullivan with a French translation. There are lots of 'rum-te-tum' rhythms à la G & S, but Chabrier’s writing for woodwinds is in another class altogether. It is even beyond Offenbach in its color and complexity. Moreover, Chabrier and his librettists clearly had a gift for expressing humor in music. On the other hand, Chabrier’s melodies are rarely original or memorable. In a routine production, I doubt that the music would stand on its own.

Fun and Fine Voices From Major to Minor

Vocally, this performance of L’Étoile had its glorious moments, but it had weaknesses too. Deborah Domanski, in the trouser role of Lazuli, has a big load to carry and didn’t always rise to the occasion. Her mezzo-soprano voice seems a little light for the role. On the other hand, she handled the comic bits with energy and vivacity. Soprano Nili Riemer as Princess Laoula projected her voice with much greater authority. In a largely slapstick role, bass Kevin Glavin as Siroco nonetheless managed to impress with the richness of his voice. I also have to mention Scott Shipman in the speaking role of the Chief of Police. He was dressed like a toy soldier and walked like one and he made his reports to the king with the most extraordinary accent and timing. Hilarious.

For something more…

The 1986 Opéra de National Lyon production referenced above was recorded for both CD and DVD release. Both versions have long since been deleted from the EMI catalogue, but if you really want to see the DVD, it is available as a rental from Netflix. Unfortunately, the production recorded on DVD pales in comparison to the Glimmerglass-New York-Cincinnati-Austin production, and the DVD is technically inferior to what can be done today.

John Eliot Gardiner loved Chabrier’s music and has done an excellent all-Chabrier CD with the Vienna Philharmonic (DG 477 51).

The big stars love L’Etoile too. Simon Rattle plans to conduct it at the Berlin State Opera this coming May with his wife Magdalena Kožená in the role of Lazuli.

Otto Soglow created the comic strip 'The Little King' in 1931. It first appeared in the New Yorker, and was later picked up by newspapers across the country. It ran until 1975.


Photo (above) by Mark Matson: Left to right Kevin Glavin (Siroco); Deborah Domanski (Lazuli); Jean-Paul Fouchécourt (King Ouf)


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Berlin Phil Winds Blow Beautifully in Texas!


Last week the Berlin Philharmonic, under guest conductor Ton Koopman, was presenting its regular subscription concerts on its home turf. Meantime, several thousand miles away, in the McCullough Theatre at the University of Texas in Austin, the Berlin Philharmonic Wind Quintet (BPWQ) was also giving a concert under the auspices of Texas Performing Arts. How is that possible? Well, it helps that the Berlin Philharmonic is an orchestra of 124 players, not all of whom are required for every concert.

It should also be noted that the Berlin Philharmonic is one of the world’s great orchestras and to become a member of it may be every musician’s dream. The players are among the highest paid of any orchestra in the world and their chief conductors have included the likes of Nikisch, Furtwängler, Karajan, Abbado and Rattle. Not surprisingly, the BPWQ turned out to be a superb ensemble altogether worthy of its distinguished parent. And yet – and this is proof of the depth of the talent in the Berlin Philharmonic – not one member of the BPWQ is a principal player.

The Berlin Philharmonic, like the Vienna Philharmonic, has been an exclusive men’s club for almost its entire existence. Karajan tried to break this questionable tradition in 1985 when he insisted on hiring Sabine Meyer as principal clarinet. The ensuing row poisoned one of the great conductor-orchestra partnerships in musical history. Karajan lost that battle but gradually the orchestra had to bend to the prevailing winds – pun intended - and admit some female players. The current membership of the BPWQ provides an excellent example in bassoonist Marion Reinhard. But she remains the only female wind or brass player in the orchestra. For the record, Marion Reinhard is a recent addition to the BPWQ and the only change in personnel the group has had in 21 years. Henning Trog was the original bassoonist; he recently retired to concentrate on teaching.

One further point on the subject of orchestral demographics. For much of its history, the Berlin Philharmonic was not only a 'men’s club,' but a German men’s club. That peculiarity also began to change during the Karajan years. The big breakthrough was the hiring of James Galway as principal flute in the 1970s. Again, the membership of the BPWQ provides a current example. Horn player Fergus McWilliam, a member of the orchestra since 1985, was born in Scotland and grew up in Canada.

From Middling Mozart to Riveting Reicha!

The Austin concert opened with Mozart’s Fantasy in F minor K. 608, arranged for wind quintet by the BPWQ’s flutist Michael Hasel. This rather strange, late Mozart piece was composed for a contraption called a mechanical organ - more like a music box than a pipe organ. Of necessity, then, if it is going to be played today it must be in some sort of transcription. Unfortunately, Hasel’s transcription didn’t sound especially comfortable for the players. There were also some intonation issues that made the performance somewhat unsettling.

From the first bars of Anton Reicha’s Quintet in D major Op. 91 No. 3, however, it was obvious that all was well again with the BPWQ.

Reicha was one of Beethoven’s contemporaries and while not in the same class as a composer, nonetheless contributed a great deal to the development of wind playing and wind composition. He wrote dozens of wind quintets and while the melodies are seldom memorable, Reicha was endlessly imaginative in his writing for each of the players. What’s more he had a sense of humor. It would be hard to imagine the wind solos in the Rossini operas if Reicha had not shown the way.

A Classic Bit of Barber for Composer's Centenary Year

After intermission, the BPWQ honored their audience with one of the masterpieces of American wind repertoire: Samuel Barber’s Summer Music Op. 31. This performance also reminded us that Barber would have been 100 years old this year. Summer Music was intended to be evocative of summer – from the opening bars we hear birds twittering – and it is in that abstract impressionist style that is so characteristic of Barber. There is also a touch of Delius in this largely pastoral piece. It is also a fine example of how to use woodwinds in various combinations to create a vast range of colors.

Virtuosic Nielsen Quintet Highlight of the Evening

The highlight of the concert was undoubtedly the BPWQ’s performance of Carl Nielsen’s Quintet Op. 43. This is a work of great beauty and originality and the BPWQ played it to near-perfection. There is nothing conventional about any mature work of Carl Nielsen. He loves to drop in unexpected fortissimos or rude sounds. Sometimes it is funny, but other times disturbing.

The most substantial and memorable part of the Quintet is the last movement. It begins with several dissonant chords repeated in slow motion, and there is a new color added to the texture. The oboist has switched to the darker cor anglais. Then follows a theme and a set of variations. The theme is a lovely chorale melody written by Nielsen himself, six years earlier, for a Lutheran hymn. Many of the variations take the form of elaborate cadenzas for different winds. For example, variation 5 features an aggressive and almost jazzy clarinet 'riff' accompanied only by the bassoon acting as a sort of straight man (or woman!). In variation 7, the bassoon gets its turn and then the horn, in variation 9. To end the movement and the piece, Nielsen gives us a reprise of the chorale theme. Another Nielsen peculiarity: for its first statement the theme was in 3/4 but now it's in 4/4!

It would be difficult to single out any of the players in a piece which demands so much from each of them; they were all wonderful. But let me give a special tip of the hat to horn player Fergus McWilliam for the sheer range and subtlety of his playing.

Thanks also to Mr. McWilliam for later explaining to us what Marion Reinhard was doing with her bassoon at the end of the Nielsen. To wit: toward the very end of the reprise of the theme, Ms. Reinhard grabbed what looked like a piece of curved plastic and shoved it into the bell of her instrument. According to Mr. McWilliam, it was actually a piece of a child’s plastic baseball bat. And the reason for doing this? The plastic tube extended the range of the bassoon by making its air column longer.

There is an important low A at the very end of the Nielsen which is simply not playable on most instruments, even though many composers from Wagner on have insisted on using this note. One solution, sometimes used, is to replace the top part of the bassoon - called the bell joint – with a longer one, just to get this note. Ms. Reinhard opted for an alternative, equally effective and ultimately 'entertaining' solution.

Winding Down with Americana

After such a fine performance of the Nielsen, the audience demanded more, and the BPWQ was only too happy to oblige. For their first encore they again dipped into their Americana repertoire. This time it was a two minute American Folk Suite by Kazimierz Machala. Bits of Camptown Races, Yankee Doodle and the like played with great verve. The second encore was a lovely Gershwin-like Blues by American composer/conductor Gunther Schuller.

One day it would be great to see the entire Berlin Philharmonic in Austin; in the meantime we can be glad we heard the Berlin Philharmonic Wind Quintet.

For those Wanting More…

The BPWQ has made over fifteen CDs for the BIS label over the past seventeen years and they are excellent. You can find the Barber, Machala and Schuller on BIS-CD-952 and the Nielsen on BIS-CD-1332. There is another recording of the Nielsen Quintet by different wind players of the Berlin Philharmonic, past and present, on EMI Classics 3-94421-2. This CD also contains performances of Nielsen’s Flute Concerto and Clarinet Concerto featuring Emmanuel Pahud and Sabine Meyer respectively, with Simon Rattle conducting.


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Olga Neuwirth wins 2010 Grand Austrian State Prize


Austrian composer Olga Neuwirth, 41, has won the prestigious Grand Austrian State Prize for 2010. The award will be presented at a ceremony in Vienna on April 8. The prize is awarded once every year and is the Austria’s highest arts honor.

She studied composition at the Vienna Hochschule für Musik as well as at the San Francisco Conservatory. In 1993-94 she studied with Tristan Murail in Paris with additonal work at ICRAM in Paris.

One of the world’s leading composers, Neuwirth’s music is regularly featured in new music concerts. Her second opera, “Lost Highways” premiered in Graz in 2003 and at Oberlin Conservatory and in New York City in February 2007. It was also seen in London in March 2008 presented by the English National Opera. With a libretto by Nobel Prize-winner Elfriede Jelinek, it follows the story of David Lynch’s 1996 film of the same name.

- Frank Cadenhead

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Monday, February 1, 2010

The MIDEM Awards


by Frank Cadenhead


The annual four day conference of the music industry, MIDEM, finished in Cannes, France on January 27. While the state of the economy sapped some of the festive feeling from the meeting, new ways to promote music of all genres was a hot topic.

The evening concert on Tuesday January 26, the MIDEM Classical Awards, handed out prizes to 16 CDs and 3 DVDs from some 111 international labels from twenty countries. A special tribute was paid to composer Frederic Chopin, the bicentenary of his birth being celebrated this year.  Master of Ceremonies were jointly James Jolly, editor of Gramophone Magazine, and the Canadian contralto Marie-Nicole Lemieux.

At the Auditorium Debussy at the Palais des Festivals, the concert featured the Cracow Sinfonietta, conducted by John Axelrod, along with the young virtuoso pianist Jan Lisiecki.  The concert concluded their reading of the Polish composer's Piano Concerto No. 1. There were two special awards for this occasion: the "Best Ever" award was awarded to a recording of the Chopin Waltzes by Dinu Lipatti. In new recordings, pianist Nicolai Demidenko won the "Chopin Special Prize' for his recording of the Preludes on the label Onyx.

Italian soprano Mirella Freni was the object of a moving tribute and a standing ovation after received her "Lifetime Achievement" Award.  The young clarinetist, José Franch-Ballester was named "Outstanding Young Artist" and played the Rhapsody for Clarinet and Orchestra by Debussy. The mezzo Elina Garanca and German baritone Christian Gerhaher were declared "Lyric Artists of the Year." They performed, respectively, the Habanera from Bizet's "Carmen" and Mahler's song "Ich hab’ ein glühend Messer." A high point of the evening was Marie-Nicole Lemieux's moving singing of "Chanson Triste" by Henri Duparc.

The MIDEM CLASSICAL AWARDS 2010:

EARLY MUSIC - Jérusalem, "La Ville des deux Paix"  with Montserrat Figueras, La Capella Reial de Catalunya, Al-Darwish, Hesperion XXI, Jordi Savall (Alia Vox).
BAROQUE MUSIC - Telemann, "Brockes-Passion" with Birgitte Christensen, Lydia Teuscher, Marie-Claude Chappuis, Daniel Behle, Donát Havár, Johannes Weisser, the RIAS Kammerchor, the Akademie für Alte Musik Berlin, René Jacobs, conductor. (Harmonia Mundi).
VOCAL RECITALS - Handel - "Between Heaven & Earth" by soprano Sandrine Piau, Accademia Bizantina, Stefano Montanari (Naïve).
CHORAL WORKS - Zimmermann - "Requiem For A Young Poet" with Claudia Barainsky, David Pittman-Jennings, Lutz Lansemann, Michael Rotschopf, Jan Hage, João Rafael (Live Electronics), Czech Philharmonic Choir Brno, Slovac Philharmonic Choir, EuropaChorAkademie, Eric Vloeimans Quintet, Holland Symfonia, Bernhard Kontarsky (Cybele).
OPERA - Shostakovich - "The Nose" with Vladislav Sulimsky, Alexei Tanovitski, Tatiana Kravtsova, Andrei Popov, Sergei Semishkur, the Mariinsky Orchestra and Chorus, Valery Gergiev, conductor (Mariinsky).
SOLO INSTRUMENT - Paganini - 24 Capricci by Thomas Zehetmair (ECM)
CHAMBER MUSIC - Ravel, Debussy, Fauré String Quartets by the Quatuor Ebène (Virgin Classics).
CONCERTOS - Beethoven - "Piano Concertos No. 4 & No.°2 " by Ronald Brautigam, Norrköping Symphony Orchestra, Andrew Parrott (BIS).
SYMPHONIC WORKS - Mahler - Symphony No, 9 with the Bamberg Symphony, Jonathan Nott, conductor (Tudor).
CONTEMPORARY MUSIC - Messiaen, "The Works for Orchestra" by Roger Muraro, Yvonne Naef, EuropaChorAkademie, SWR Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg, Sylvain Cambreling (Hänssler Classic).
FIRST RECORDING - Rigel, "Symphonies" by Concerto Köln (Berlin Classics).
HISTORICAL - Friedrich Gulda, "The Early Recordings" with Friedrich Gulda, piano, and the RIAS-Symphonie-Orchester Berlin, Igor Markevitch (Audite).
DVD: OPERA / BALLET - Tchaikovsky - Eugene Onegin par Mariusz Kwiecien, Tatiana Monogarova, Margarita Mamsirova, Andrey Dunaev, Anatolij Kotscherga, The Bolshoi Theatre Soloists, Chorus & Orchestra, Dmitri Tcherniakov, Chloé Perlemutter, Alexander Vedernikov (Bel Air Classiques).
DVD: CONCERTS - The King’s Singers' "Live at the BBC Proms" (Signum Records).
DVD: DOCUMENTARIES - "Sergiu Celibidache: You don’t do anything - You let it evolve." by Jan Schmidt-Garre (Arthaus Musik).
CLASSICAL DOWNLOAD - Classicsonline.com
OUTSTANDING YOUNG ARTIST (in cooperation with IAMA) - José Franch- Ballester.
JURY NOMINATION - Bach, "Six Solo Sonatas & Partitas" by violinist Viktoria Mullova (Onyx).
ARTIST OF THE YEAR – INSTRUMENTALIST - Angela Hewitt (piano).
ARTIST OF THE YEAR – FEMALE VOCALIST - Elīna Garanča (mezzo-soprano).
ARTIST OF THE YEAR – MALE VOCALIST - Christian Gerhaher (baritone).
LIFETIME ACHIEVEMENT - Mirella Freni (soprano).
LABEL OF THE YEAR - Naïve Classique.
RECORDING OF THE YEAR Zimmermann, "Requiem for a Young Poet" by Claudia Barainsky, David Pittman-Jennings, Lutz Lansemann, Michael Rotschopf, Jan Hage, João Rafael (Live Electronics), Czech Philharmonic Choir Brno, Slovac Philharmonic Choir, EuropaChorAkademie, Eric Vloeimans Quintet, Holland Symfonia, Bernhard Kontarsky (Cybele).

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Gala des Prix Opus 2009


par Renée Banville

Présenté par Chantal Lambert, directrice de l’Atelier lyrique de l’Opéra de Montréal, le treizième gala des prix Opus a eu lieu aujourd'hui à la Salle Claude-Champagne, à Montréal. Les deux animateurs, Mario Paquet et André Papillon ont souligné avec humour leur grande complicité comme représentants de Montréal et de Québec. 

Initiative du Conseil québécois de la musique, appuyé par de nombreux partenaires, le gala des prix Opus souligne cette année par 27 prix le talent des artistes québécois. Cette fête annuelle est accueillie avec enthousiasme par le milieu. La remise des prix était ponctuée de prestations musicales présentées par des artistes connus : Christine Tassan et les Imposteures, Karina Gauvin et le pianiste Mathieu Gaudet, le hautboiste Normand Forget et l’Ensemble Caprice. 

Particulièrement soignées, la mise en scène et la direction artistique de l’événement étaient assurées par Mathieu Lussier. Initiative intéressante, on présentait à chaque changement de style musical, la vision d’artistes ou de critiques. Les choix de Claude Gingras ont fait crouler de rire l’auditoire. Si le prix de l’humour avait existé, il en aurait certes été le gagnant! Suite à sa remarque que la musique ancienne « manquait de chair », Karina Gauvin, lauréate dans cette catégorie, n’a pas manqué de souligner avec humour que si M. Gingras trouvait que « cette musique manquait de chair, ce n’était pas le cas de l’interprète ». C’était aussi une excellente idée de poser les mêmes questions à de jeunes enfants, dont les réponses naïves étaient touchantes de sincérité. 

Le prix Hommage, sans doute le plus important, a été remis au compositeur Jacques Hétu, l'un des patriarches de la composition au Québec. Tous s’accordent à dire que la grande sensibilité et la rigueur structurelle de ses composition en font une musique particulièrement bien écrite que tous les instrumentistes jouent avec un grand plaisir. Visiblement très affecté par la maladie, c’est d’une voix à peine audible que M. Hétu a tenu à remercier les organisateurs et le public pour cet hommage qui lui était rendu. Un moment particulièrement émouvant! 


Parmi les 27 prix décernés, soulignons : 

• Yannick Nézet-Séguin, lauréat de deux prix, dont celui du Rayonnement à l’étranger. Mme Luce Moreau, directrice de l’Orchestre Métropolitain a pu faire entendre la réaction en direct du maestro absent. Découverte de l’année à Londres, il a souligné qu’il avait reçu son premier prix Opus en 1998, comme découverte de l’année au Québec. Il est ravi d’avoir été choisi pour son rayonnement à l’étranger et c’est un immense encouragement pour lui de savoir qu’il est toujours présent ici.  
• La Société de musique contemporaine du Québec et Faculté de musique de l'Université de Montréal, aussi lauréats de deux prix : le Concert de l’année – Montréal pour La Porte du ciel et le Concert de l’année – Musiques moderne, contemporaine pour le même projet en novembre 2008. 
• Le jeune chef d’orchestre Jean-Michaël Lavoie, lauréat du prix Découverte de l’année.
Il a été choisi en mars 2008 par Pierre Boulez, comme assistant-chef par l’Ensemble Intercontemporain de Paris.  
• Deux prix aussi pour la pianiste Louise Bessette : Interprète de l’année, un prix accompagné d’une bourse de 5 000$ du Conseil des Arts du Canada et Événement musical de l’année pour l’Automne Messiaen 2008. 
• À la surprise générale, c’est la jeune compositrice Analia Llugdar qui a reçu le prix Compositeur de l’année. Une bourse de 10 000$ accordée par le Conseil des arts et des lettres du Québec est associée à ce prix. 
• C’est aussi avec surprise, mais avec beaucoup d’enthousiasme que l’auditoire a accueilli la nomination de Guy Soucie de la Chapelle historique du Bon-Pasteur comme Directeur artistique de l’année pour son apport exceptionnel à faire connaître de jeunes artistes d’ici. 

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Last-minute stand-in saves COC’s Carmen


By L.H. Tiffany Hsieh

I didn’t fall in love with the gypsy devil. As one of the most seductive operas of all time, the latest production of Bizet’s sizzling Carmen on stage at the Canadian Opera Company falls short of some much-needed charisma.

Directed by Justin Way with set design from Michael Yeargan, the Jan. 30 performance was interesting and lovely in parts (for example, the gypsy tavern in Act 2 and bullfight arena in Act 4), but struggles with movement and continuity throughout.

The COC chorus and the Canadian Children’s Opera Company chorus gave some magnificent and charming singing. However, it was unfortunate that they were given some awkward and un-gypsy-like routines to work with from choreographer Jane Johanson. This was especially painful to watch in the opening scene of the final act, when the choruses lined the front of the stage, stationary and pointing fingers.

The brief and sporadic standing ovation at curtain call owed its thanks to the last-minute-stand-in Carmen, sung brilliantly by Israeli-born mezzo-soprano Rinat Shaham, who makes her COC debut in this production after American mezzo-soprano Beth Clayton pulled out due to health reasons.

Shaham, blogging that she was “picking my nose in New York and complaining about my life” before she was called in last week, gave us a fiery, multidimensional Carmen, whose tobacco-laden gypsy pride torments the relatively simple and weak Don José. She wants her freedom above all things, and so she rejects the army officer for a matador in pink socks despite her hibernated love for the former. Shaham portrayed this subtle nuance beautifully.

In contrast, Don José didn’t know what he had until he lost it - albeit no one can hold on to a woman like Carmen for too long. New Orleans tenor Bryan Hymel, who made his COC debut as Pinkerton in Madama Butterfly, gave a guarded and measured performance of the hopeless lover. His singing was thin at times when coupled with Shaham’s deep and sultry tones, but he soared in the final act, revealing a vulnerable and impassionate Don José at his wits’ end.


Homegrown soprano Jessica Muirhead of Aurora, Ont. was a darling as the innocent and faithful Micaëla while French bass-baritone Paul Gay offered up a slightly rigid Escamillo, the matador. The COC orchestra, under the baton of 29-year-old Scottish conductor Rory Macdonald, shined from the pit.


Carmen continues at the Four Seasons Centre for the Performing Arts with Shaham on Feb. 2, 5, 7, 9, 11, and 14. Georgian mezzo-soprano Anita Rachvelishvili will make her COC debut as Carmen on Feb. 17, 20, 23 and 27.

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Cette semaine à Montréal (1 à 7 fév) / This Week in Montreal (Feb. 1 - 7)


Musique à Montréal cette semaine
Music in Montreal this week

Musique : Lundi 1 Monday » 7h30. Église St-Jean-Baptiste, Chapelle St-Louis, 4230 Drolet. Sonnez les matines. Denis Bédard: Fantaisie pour saxophone soprano et piano; Fernande Decruck: Sonate; Claude Delvincourt: Croquembouches; Jérôme Naulais: Petite suite latine, Jean-François Guay, saxophones; Catherine Leroux, piano. (60 min) 343-6427 » 18h30. UdM-MUS. Elizabeth Schumann, piano. 343-6427 » 19h30. McGill Pollack. 10$. McGill Staff and Guest Series, Luba Zuk, Ireneus Zuk, piano. 398-4547 » 19h30. PdA Théâtre Maisonneuve. 20-40$. Société Pro Musica. série Émeraude. Beethoven: Sonate #5, op.24 “Le printemps”; Chausson: Poème, op.25; Szymanowski/ Paganini: 3 Caprices pour violon et piano, op.40; Brahms: Sonate pour violon et piano #3, op.108, Chloé Hanslip, violon; Ashley Wass, piano. 842-2112, 800-361-4595 » 20h. McGill Redpath. FA. Artist Diploma Recital, Louis-Pierre Bergeron, horn. 398-4547 » 20h30. UdM-MUSCatherine Little, violoncelle. 343-6427

Théâtre : JE SUIS COBAIN (PEU IMPORTE). Kurt Cobain, célèbre chanteur du groupe de musique grunge Nirvana, s’est donné la mort en 1994. Voilà qu’il revient régler ses comptes avec son public. Il veut expliquer pourquoi il est devenu ce qu’il exécrait le plus, c’est-à-dire, populaire. Une popularité imprévue et très mal digérée. Un monologue poétique qui traite du rapport entre le désir du rejet et la soif purement humaine d’être reconnu. Texte Dany Boudreault. Une production du Théâtre Sans Domicile Fixe. Prix régulier : 20,00 $ » Lundi 1. (19 h) Théâtre La Licorne / La Petite Licorne La Petite Licorne (4559, rue Papineau). 514 523-2246
 

Cinéma : CINE-CLUB – 1981. En 1981, la famille Trogi s'installe dans sa nouvelle résidence. Ricardo (11 ans), en ressent complètement les effets sans connaître pourtant la signification du mot « hypothèque ». Il est le « nouveau » d'une classe dont les élèves paraissent provenir de milieux plus aisés que le sien et son honneur est en jeu. Pour éviter d'être découvert pour ce qu'il est réellement, Ricardo décide de s'inventer une situation qu'il devra entretenir rigoureusement s'il veut faire sa place. Jusqu'à ce que le jeu de la vérité devienne une incontournable évidence et que le petit Trogi accepte de forger sa véritable identité. « 1981 se laisse regarder tantôt avec amusement, tantôt avec attendrissement. Le récit ne révolutionne peut-être pas le genre, mais l'honnêteté et l'authenticité qui se dégagent de cette tranche de vie font passer un agréable moment de cinéma » (Normand Provencher, Le Soleil). Du réalisateur de QUÉBEC-MONTRÉAL et HORLOGE BIOLOGIQUE. Québec. 2009. 102 minutes. (G). Avec Jean-Carl Boucher, Claudio Colangelo, Sandrine Bisson. » Lundi 1. (19 h 30) Centre des arts de la scène Pauline-Julien Grande salle (15615, boulevard Gouin Ouest). 514 626-1616

Opéra : STARMANIA VERSUS NOTRE-DAME DE PARIS. Les plus grandes chansons de Starmania et Notre-Dame de Paris seront présentées en version concert. Tous les musiciens de l'OSM seront sur scène avec les chanteurs pour une mise en valeur des mots, de la musique et de la voix enveloppés d'éclairages et de projections. Le metteur en scène Daniel Roussel explique que la rencontre de ces deux grandes oeuvres donnera naissance non pas à une opposition mais à des croisements surprenants et inattendus. Orchestre symphonique de Montréal. » 1 – 2 fév. (20 h) Place des Arts Salle Wilfrid-Pelletier (175, rue Sainte-Catherine Ouest) 514 842-2112


Theatre: GEOMETRY IN VENICE. Written by Montreal playwright Michael Mackenzie Geometry in Venice is inspired by Henry James’s novella The Pupil. It tells the story of an aristocratic British family living in Venice towards the end of the nineteenth century. Desperate to keep up appearances they travel to the fashionable salons of Europe, search for a wealthy suitor to marry their daughter and hire an aspiring Canadian writer to educate their sickly genius son. Geometry in Venice is a poignant and timely examination of a family’s obsession with wealth and status. » Feb. 1 to 4. (20h) Segal Centre for Performing Arts at the Saidye The Leanor and Alvin Segal Theatre (5170, chemin de la Côte Sainte-Catherine) 514 739-7944

Musique : Mardi 2 Tuesday » 9h. UdM-Laval. 11$. Opéramania-Mat. Monteverdi: Orfeo. William Christie, chef; Dietrich Henschel, Maria Grazia Schiavo, Sonia Prina, Antonio Abete. 343-6427, 450-686-4777 » 19h30. McGill Pollack. 10$. McGill Staff and Guest Series, Jan Jarczyk, piano. 398-4547

Danse : VISAGES DE LA DANSE - EMMANUEL JOUTHE. En septembre dernier, Circuit-Est centre chorégraphique inaugurait une nouvelle série de rencontres gratuites et ouvertes à tous, en collaboration avec l’Agora de la danse et Les Grands Ballets Canadiens de Montréal. Depuis, chaque mois, l’écrivaine et journaliste de danse Aline Apostolska s’entretient avec une personnalité de la danse contemporaine et nous fait découvrir son parcours de vie et son processus créatif. Nous vous donnons rendez-vous avec Emmanuel Jouthe, chorégraphe, interprète et directeur artistique de la compagnie Danse Carpe Diem/Emmanuel Jouthe. Les personnes qui souhaitent assister à la soirée du 2 février peuvent réserver des laisser-passer gratuits au (514) 525-1569 ou à info@circuit-est.qc.ca. » Jeudi 2. (19 h) Circuit-Est centre chorégraphique (2022, rue Sherbrooke Est)
514 525-1569

Théâtre : LA LISTE. Une femme, épouse et mère de trois gamins, tient minutieusement et compulsivement des listes de tout ce qu’elle a à faire. Sur l’une d’elles écrira : trouver un médecin à Caroline, ma voisine… et quelques jours plus tard, elle écrira sur une de ses listes : ressusciter Caroline. Texte : Jennifer Tremblay. » 2-3 fév. (19 h). Théâtre d'Aujourd'hui Salle principale (3900, rue Saint-Denis) 514 282-3900


Théâtre : AU CHAMP DE MARS. Dans la Rome antique, un champ de Mars était un espace d’entraînement au combat, Mars étant le dieu de la guerre. La guerre. Avec humour et intelligence, mais surtout avec beaucoup d’humanité, Pierre-Michel Tremblay nous invite à une réflexion sur ce thème grave où les partis-pris sont nombreux, tout comme les marchands d’armes... et de beignes. De retour de Kandahar, un jeune soldat souffre d’un sévère choc post-traumatique… Une psychiatre est atteinte de fatigue de compassion… Un réalisateur de films d’action cherche l’inspiration et un professeur de musique klezmer donne dans l’activisme pacifiste au sein du collectif Guerre à la guerre… Entre la réalité d’Éric aux prises avec sa culpabilité de survivant, celle de Rachel qui doit écouter et apaiser, entre la vision de Marco pour qui tout se résume à des flashs et celle d’Antoine, un pacifiste invétéré, soudainement, le choix de «notre camp» n’est plus aussi évident… La mise en scène est confiée à Michel Monty, un habitué de La Licorne où il a signé avec rigueur et précision les mises en scène de La Société des loisirs, Gagarin Way, Antarktikos et CyberJack. Texte Pierre-Michel Tremblay. » 2-4 fév. (19h) Théâtre La Licorne / La Petite Licorne La Licorne (4559, rue Papineau)
514 523-2246

Théâtre : ROCHE, PAPIER, COUTEAU. Dans un village de l’Extrême-Nord, cinq jeunes arrivent par cargo, enfermés dans un conteneur après un mois d’un voyage qui ne devait durer qu’une semaine. L’un des jeunes, Mute, a péri durant la traversée. Les quatre autres, encore vivants, sont pris en charge par Mielke, un médecin devenu professeur. Dans ce pays où tout se dit à mots feutrés, un étrange secret se dévoilera peu à peu… et mettra en danger la vie de ceux qui croyaient que ce petit village était le seul endroit sur terre où il soit encore possible de finir ses jours paisiblement. » 2-4 fév (19 h 30) Théâtre Denise-Pelletier (4353, rue Sainte-Catherine Est) 514 253-8974

Théâtre : MON CORPS DEVIENDRA FROID. Une famille brisée en mille miettes tente de panser ses plaies sous le regard tendre et naïf, mais pourtant bien aiguisé, d’une belle-sœur éthérée. Dans un banquet dominé par le fantôme du père décédé, où une abondante liqueur caustique coule à flots, nous sommes invités, malgré nous, à une énorme brassée de linge sale en famille, où chacun essaie de sauver son enfant intérieur. À une époque où l’on se doit d’être bien propre et parfait, l’auteure Anne-Marie Olivier nous propose une fable freudienne sur l’enfance brisée, écrite à l’aide d’une plume corrosive teintée d’humour très noir. Une œuvre aigre-piquante à déguster pleinement. Texte : Anne-Marie Olivier. » 2-4 fév (20 h) Théâtre de Quat'Sous (100, avenue des Pins Est) 514 845-6928

Théâtre : LE BOURGEOIS GENTILHOMME. Le marquis imaginaire. Monsieur Jourdain est un homme d’affaires prospère qui, comme son père, a fait fortune en vendant des draps. Or comme il vit à Paris sous le règne de Louis XIV, ce n’est pas suffisant pour son ambition sociale et pour tromper sa femme avec une jolie marquise. Pour cela, il lui faut appartenir à la noblesse et, à défaut d’être noble, faire comme : suivre les extravagances de la mode, savoir danser, manier une épée et philosopher avec esprit. Dur programme. Il n’a peur de rien, monsieur Jourdain, surtout pas du ridicule, et pas même d’accepter un titre de noblesse … qu’on lui confère dans une extravagante turquerie. Lorsqu’il crée sa spectaculaire et hilarante comédie-ballet, Molière est au sommet de son art : son humour fait mouche comme jamais et il maîtrise de façon confondante l’art de marier le théâtre à de grandioses numéros chorégraphiques. Chaque bourde de Jourdain – et Dieu sait qu’il les accumule – est pour l’auteur une occasion d’épingler les conventions sociales de son temps. Mais surtout, Molière a décrit pour l’éternité un type humain universel : le naïf prêt à tout subir pour satisfaire ses idées de grandeur. de Molière. Mise en scène de Benoît Brière. » 2-4 fév (20 h) Théâtre du Nouveau-Monde (84, rue Sainte-Catherine Ouest) 514 866-8668

Theatre: THE DAILY MIRACLE. English play. Arthur Holden, celebrated Montréal actor (most recently seen on History Television in September as General James Wolfe in Galafilm’s Battlefield Quebec), and writer (his play, Father Land, won the Write-On-Q competition last year and will round up Infinithéâtre’s season with a March production) is Marty, newly back on the job after a nervous breakdown and clearly headed down that road again. Ellen David, well known to Canadian audiences (Mambo Italiano, The Carpenter and In Piazza San Domenico) and who currently stars in the new CBC comedy series 18 to Life, plays Elizabeth, a dedicated professional trying to balance motherhood and an all-consuming career in a predominately male environment. Howard Rosenstein makes an about-turn from paedophilic clown in Infinithéâtre’s Rabbit Rabbit last fall to Benjamin, the womanizing night editor determined to get the paper out with a minimum of histrionics so he can hightail it to the nearest bar to drown his troubles. New kid on the block with dreams of television news anchor fame is Carrie, played by Sheena Gazé-Deslandes in her theatrical debut and veteran Québec actor Jean-Guy Bouchard is Roland, resident philosopher and fallen demi-God reduced to janitor. » Feb. 2-4 (20 h) Bain Mathieu (2915, Ontario est) 514-523-3265

Theatre: OUR COUNTRY'S GOOD. by Timberlake Wertenbaker, presented by: Griffintown Theatre. A story of convicts and Royal Marines sent to Australia in the 1780s as part of the first penal colony. A play about the triumph of the human spirit over oppression. » Feb. 2-4 (20 h) Théâtre Ste-Catherine (264, Ste-Catherine Est) 514-284-3939

Music: PENTAÈDRE. America has inspired numerous creators, from various horizons. Pentaedre presents a concert focusing on the American musical creation of the last hundred years featuring John Cage's audacity, John Harbison's quintet extreme virtuosity, Dvorak's romantism in his famous « American » Quartet, transcribed for quintet and a creation by Montrealer Blair Thomson, to compose a rich and coloured musical counterpane. Shorts excerpts from well-known American speeches will be inserted, to playfuly transform this American musical overview into a historical exploration. As Franklin Delano Roosevelt was saying in 1933, « the only thing we have to fear is fear itself ». So, don’t hesitate to come and join us. Programme: Antonin Dvorak Quintet no 12 op. 16 (transcription by David Walter); John Cage Living Room Music; Blair Thomson Empathie (creation); John Harbison Quintet. Pentaèdre : Danièle Bourget, flute ; Normand Forget, oboe ; Martin Carpentier, clarinet ; Louis-Philippe Marsolais, horn ; Mathieu Lussier, bassoon. » Tuesday the 2nd (20h) McGill Universty - Schulich Music School Salle Pollack (555, rue Sherbrooke ouest) 514 398-4547

Musique : Mercredi 3 Wednesday » 13h30. UdM-Longueuil. 11$. Opéramania-Mat. Berlioz: Les Troyens, 2e partie Les Troyens à Carthage. 343-6427. » 17h. UdM Classe de Catherine Sévigny, chant. 343-6427 » 19h30. UdM-MUS B-484. Classe d’André Moisan, clarinette. 343-6427 » 20h. ConcU OPCH. 0-5$. Student Concert Series. Inspired by the poems of Langston Hughes. Jazz, Class of Jeri Brown, voice. 848-4848 » 20h. McGill Tanna Schulich.  Class of Sara Laimon, piano. 398-4547

Music: SINFONIETTA DE MCGILL. Alexis Hauser, director. As part of the celebration of the 200th anniversary of Haydn's death. Symphony No. 59 in A major ("Fire"); Symphonie NO. 103 in E-flat major ("Paukenwirbel" Drum Roll) (London, 1795). » Wednesday the 3rd (19h 30) McGill University - Schulich Music School Pollack Hall (555, rue Sherbrooke ouest) 514 398-4547

Opera: OPÉRA DE MONTRÉAL – TOSCA. Tosca was the first opera performed at our company in 1980. Now, here it is back again in a new sett ing to mark our 30th anniversary. A tale of passion, desire, and murder, composed by Puccini at the top of his game. In the palaces and prisons of Rome, the famous singer Tosca plays a game of fatal attraction with the crooked chief of police in the hope of winning her lover’s freedom. Production San Diego Opera / Opéra de Montréal. » Feb. 3 (20 h) Place des Arts Salle Wilfrid-Pelletier (175, rue Sainte-Catherine Ouest) 514 842-2112

Musique : Jeudi 4 Thursday » 17h. UdM-MUS B-484. Mois romantique au Cercle de musicologie. Conférence. L’énigme du Prélude de Tristan et Isolde: quel sens lui donner? Jean-Jacques Nattiez, musicologue. 343-6427 » 18h30. CAV-SMAT. 5-7$. SMAT, p.v.o. Bizet: Carmen. Covent Garden, 2006. 397-0068 » 19h30. McGill Pollack. 10$. McGill Staff and Guest Series. Brahms, Mark Fewer, violin; Douglas McNabney, viola; Thomas Wiebe, cello; Peter Longnorth, piano. 398-4547 » 20h. CHBP. LP. Haydn, Trio Mireille Lagacé.
872-5338 » 20h. McGill Tanna Schulich. Master’s Recital, Jared Greeve, trumpet. 398-4547 » 20h. UdM-MUS SCC. 0-20$. Concerts Live@CIRMMT. Cinéma et musique. Luis Bunuel: L’Âge d’or; Martin Matalon: Le Scorpion, Ensemble Sixtrum, percussion. 343-6427

Jazz : En association avec le Festival International de Jazz de Montréal - DJANGO REINHARDT: CENT ANS! Avec The DORADO SCHMITT ALLSTARS. Cinquante six ans après sa disparition, le grand Django Reinhardt - qui aurait été centenaire cette année - est toujours considéré comme le roi du jazz manouche, un style plus d'actualité que jamais. Tellement, en fait, que chaque année à New York un festival entier, le Django Reinhardt Festival, est consacré au genre et à son créateur. Certains des plus beaux fleurons de ce festival new-yorkais dédié à cette musique contagieuse qui alterne avec aisance entre swing et mélodies romantiques viennent faire revivre la légende trois soirs durant : Dorado Schmitt (guitare), Samson Schmitt (guitare), Pierre Blanchard (violon), Brian Torff (basse) et Marcel Loeffler (accordéon). » Jeu. 4 au sam. 6 Django Reinhardt Festival – centenaire de sa naissance. (20 h) L’Astral, situé dans la maison Rio Tinto Alcan. 514 871-1881

Musique : Vendredi 5 Friday » 11h. CMM SR. 0-10$. Société de guitare de Montréal, cours de maître, Duo Gruber-Maklar (Allemagne), guitare. 849-7510 » 12h30. McGill RED. FA. McGill Noon-Hour Organ Recital Series, Han Mi Kang, organ. 398-4547 » 17h. Centre des loisirs de St-Laurent, 1375 Grenet. 10$ + CV. Concert bénéfice: réédifier une île idéale, unissons-nous pour Haïti. Musique, danse, nourriture haïtiennes. Marjorie Walter et son choeur d’enfants; Choeur de l’UQAM; etc. 863-7580 » 17h. McGill POL. FA. Master’s Recital, Emily Westell, violin. 398-4547 » 19h. UdM-MUS B-421. 8$. Opéramania. Landi: Il Sant’ Alessio. Philippe Jaroussky, Max Emanuel Cencic, Alain Buet, Xavier Sabata; William Christie, chef. 343-6427 » 19h30. CCPCSH. LP. Une Soirée à l’Opéra. Hommage à Jussi Bjoerling. Puccini: Manon Lescaut; Verdi: Un Ballo in maschera; Bellini: I Puritani (e), Makiko Awazu, Pamela Jones, sopranos; Manrico Tedeschi, Franco Perrotta, ténors; Jacques Saint-Jean, piano. 630-1220 » 20h. ConcU OPCH. 8-15$. Faculty Concert Series. Annual Roots of Rock’n Roll Concert. Blues, rhythm & blues, Motown, etc. Craig Morrison & the Momentz. 848-4848 » 20h. PdA SWP. 42-82$. Concert contre le cancer. Strauss, Beethoven, Mozart. O.S. de Montréal; Kent Nagano, chef; Jennifer Swartz, harpe; Timothy Hutchins, flûte. 890-8213 » 20h30. Théâtre du Vieux-Terrebonne, Salle Desjardins, 866 St-Pierre, Terrebonne. 28$. Les Beaux Concerts. Bernstein: West Side Story; Claude-Michel Schönberg/Alain Boublil: Les Misérables, Sinfonia de Lanaudière; Stéphane Laforest, chef; Marie-Josée Lord, soprano; Marc Hervieux, ténor; Dominic Côté, baryton. 450-492-4777, 866-404-4777 » 22h. CHBP. EL. Jazz nocturne. Désirs démodés. Sylvain Provost, Trio Sylvain Provost. 872-5338

Musique : Samedi 6 Saturday » 12h30. CAV-SMAT. 5-7$. SMAT, p.v.o. Puccini: Madama Butterfly. Montréal, 2008. 397-0068 » 13h. Ciné-Met Live Montréal. MetOp in HD, Live. Verdi: Simon Boccanegra, James Levine, cond.; Plácido Domingo, Adrianne Pieczonka, Marcello Giordani, James Morris. (f6 Québec; 6 Ailleurs au QC; 6 Ottawa-Gatineau) » 14h. McGill TSH. FA. Year of the Wind. Masterclass, Carlo Columbo, bassoon. 398-4547
» 17h. Christ Church Cathedral, 635 Ste-Catherine Ouest. FA. Contemporary Keyboard Society. Sandeep Bhagwati, Peter Castine, Ray Evanoff, alcides lanza, Gyorgy Ligeti, Timothy McCormack, Maurice Ohana, Katelyn Clark, harpsichord, toy piano; Xenia Pestova, piano, toy piano; Shawn Mativetsky, percussion. 803-5108 » 17h. McGill TSH. FA. Year of the Wind, Carlo Columbo, bassoon. 398-4547 » 19h30. McGill RED. 10$. McGill Staff and Guest Series. Brahms: Piano Quartet #3, op.60; Chausson: Concerto for violin, piano and strings, op.21, Cecilia String Quartet; Andrew Wan, violin; Lambert Chen, viola; Michael Nicolas, cello; Philip Chiu, piano. 398-4547 » 20h. CMM Salle de concert. 15-30$. Société de guitare de Montréal, volet international. Albéniz, Granados, Giuliani, D. Scarlatti, Villa-Lobos, Dusan Bogdanovic, Duo Gruber & Maklar (Allemagne), guitare. 849-7510

Musique : Dimanche 7 Sunday » 11h. Centre culturel, Café-théâtre Les Beaux Instants, 3015 place du Centre civique, Tracy. 8$. Les p’tits dimanches ensoleillés, Duo Lambert-Chan. 450-780-1118 (f21) » 11h30. CAV-SMAT. 20-25$, comprend déjeuner, RSVP. SMAT, brunchs de la Phonothèque. Les 30 ans de l’OdM. 397-0068 » 14h30. Centre communautaire Dollard-des-Ormeaux, 12001 boul. de Salaberry. EL. Christoph Sturzenegger/Marc Baumgartner: Max et les ogres (conte musical pour les 4 à 8 ans), Pentaèdre; Karine Saint-Arnaud, marionnettiste, narration. 684-1496 (f21) » 14h30. McGill Redpath Hall. McGill Conservatory, Suzuki Strings Concert. 398-4547 » 15h30. CHBP. LP. Chostakovitch, Dinuk Wijeratne, Ravel, Schumann. David Jalbert, piano. 872-5338 » 15h30. McGill Pollack. 15-35$. LMMC Concerts, Miro Quartet; Shai Wosner, piano. 932-6796 » 16h30. SASP. CV. Sinfonica Organo. Impressionism. Karg-Elert: Seven Pastels, op.96; James F. Hopkins; Derek Healey, Jonathan Oldengarm, organ. 842-9991

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